Jean de Pérusse des Cars plus connu sous le nom de Jean des Cars est un journaliste et écrivain français. Il est né à Paris le 24 avril 1943. Son amour pour le journalisme et sa passion pour l’écriture, il les doit en grande partie à son écrivain et journaliste de père Guy des Cars. Toutefois, contrairement à ce dernier, Jean des Cars est plutôt un historien. Il est d’ailleurs l’auteur de plusieurs ouvrages sur les grandes dynasties européennes.
Dans le livre « La saga des Romanov », Jean des Cars retrace le passé impérial russe de la prise de pouvoir par la famille Romanov jusqu’à la fin de cette monarchie. Avec plein d’objectivité, il nous plonge au cœur d’une saga familiale touchante et passionnante. C’est une œuvre agréable à lire.
L’ouvrage de Jean des Cars « La saga des Windsor » parle des Windsor. Dans ce roman historique, il fait une synthèse de l’Angleterre de la reine Victoria au règne d’Elisabeth II.
Dictionnaire amoureux des Monarchies
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- Nombre de pages446
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.51 kg
- Dimensions13,3 cm × 20,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-259-25162-4
- EAN9782259251624
- Date de parution14/11/2019
- CollectionDictionnaire amoureux
- ÉditeurCoédition Plon/Editions Perrin
- IllustrateurAlain Bouldouyre
Résumé
En 2019, une vingtaine de pays ont à leur tête un souverain ou une souveraine. D'Europe, d'Asie d'Afrique, héréditaires ou électives, constitutionnelles ou absolues, passées ou présentes, Jean des Cars vous initie aux secrets de dynasties, de familles et de personnages qui ont incarné un pays soit par naissance, soit par la force, voire par hasard... Alors que l'Union Européenne est souvent hostile à rappeler ses traditions historiques, dix Etats européens conservent, fièrement, un régime politique ancré dans le passé, celui des monarchies héréditaires constitutionnelles ou parlementaires.
C'est le point commun entre la Belgique, le Danemark, la Suède, la Norvège, les Pays-Bas, le Luxembourg, le Liechtenstein, Monaco, le Royaume-Uni et l'Espagne. Certains monarques sont déjà entrés dans l'histoire par la longévité de leur règne comme celui d'Elizabeth II, souveraine puis 67 ans. Des héritières et héritiers, bien préparés à leur fonction, sont prêts à assurer des transitions paisibles dans l'enthousiasme des peuples.
Si le principe royal reste encore efficace et soutenu aujourd'hui, c'est probablement par la façon dont une dynastie remplit son mandat. Un royaume, un grand-duché ou une principauté ne sont pas soumis aux élections de chef d'Etat, à la durée d'un mandat ou à une campagne électorale. L'incarnation de l'Etat n'y est pas remise en question. Sauf révolution... Que son pouvoir soit limité à une pure représentation ou intervenant sur la vie publique, le souverain décède sur le trône ou abdique, ce régime étant plus sévère que d'autres puisque la sanction est sans appel.
Si les monarchies de l'ancienne Europe sont un exemple de stabilité, elles ne sont pas les seules. Les monarchies du Proche et du Moyen-Orient jouent un rôle à part mais d'une importance croissante. Tour à tour décriées ou présentées comme des garantes d'un équilibre fragile, elles puisent souvent leur légitimité dans un contexte international complexe. Le Japon, qui demeure le dernier empire existant au XXIe siècle, démontre que loin d'être une survivance surannée, l'institution impériale reste cruciale.
Les Japonais, qui n'oseraient critiquer l'existence même de la maison impériale, sont témoins de l'accession du 126e empereur de la plus vieille dynastie du monde, supposée remonter à 2 600 ans.
C'est le point commun entre la Belgique, le Danemark, la Suède, la Norvège, les Pays-Bas, le Luxembourg, le Liechtenstein, Monaco, le Royaume-Uni et l'Espagne. Certains monarques sont déjà entrés dans l'histoire par la longévité de leur règne comme celui d'Elizabeth II, souveraine puis 67 ans. Des héritières et héritiers, bien préparés à leur fonction, sont prêts à assurer des transitions paisibles dans l'enthousiasme des peuples.
Si le principe royal reste encore efficace et soutenu aujourd'hui, c'est probablement par la façon dont une dynastie remplit son mandat. Un royaume, un grand-duché ou une principauté ne sont pas soumis aux élections de chef d'Etat, à la durée d'un mandat ou à une campagne électorale. L'incarnation de l'Etat n'y est pas remise en question. Sauf révolution... Que son pouvoir soit limité à une pure représentation ou intervenant sur la vie publique, le souverain décède sur le trône ou abdique, ce régime étant plus sévère que d'autres puisque la sanction est sans appel.
Si les monarchies de l'ancienne Europe sont un exemple de stabilité, elles ne sont pas les seules. Les monarchies du Proche et du Moyen-Orient jouent un rôle à part mais d'une importance croissante. Tour à tour décriées ou présentées comme des garantes d'un équilibre fragile, elles puisent souvent leur légitimité dans un contexte international complexe. Le Japon, qui demeure le dernier empire existant au XXIe siècle, démontre que loin d'être une survivance surannée, l'institution impériale reste cruciale.
Les Japonais, qui n'oseraient critiquer l'existence même de la maison impériale, sont témoins de l'accession du 126e empereur de la plus vieille dynastie du monde, supposée remonter à 2 600 ans.
En 2019, une vingtaine de pays ont à leur tête un souverain ou une souveraine. D'Europe, d'Asie d'Afrique, héréditaires ou électives, constitutionnelles ou absolues, passées ou présentes, Jean des Cars vous initie aux secrets de dynasties, de familles et de personnages qui ont incarné un pays soit par naissance, soit par la force, voire par hasard... Alors que l'Union Européenne est souvent hostile à rappeler ses traditions historiques, dix Etats européens conservent, fièrement, un régime politique ancré dans le passé, celui des monarchies héréditaires constitutionnelles ou parlementaires.
C'est le point commun entre la Belgique, le Danemark, la Suède, la Norvège, les Pays-Bas, le Luxembourg, le Liechtenstein, Monaco, le Royaume-Uni et l'Espagne. Certains monarques sont déjà entrés dans l'histoire par la longévité de leur règne comme celui d'Elizabeth II, souveraine puis 67 ans. Des héritières et héritiers, bien préparés à leur fonction, sont prêts à assurer des transitions paisibles dans l'enthousiasme des peuples.
Si le principe royal reste encore efficace et soutenu aujourd'hui, c'est probablement par la façon dont une dynastie remplit son mandat. Un royaume, un grand-duché ou une principauté ne sont pas soumis aux élections de chef d'Etat, à la durée d'un mandat ou à une campagne électorale. L'incarnation de l'Etat n'y est pas remise en question. Sauf révolution... Que son pouvoir soit limité à une pure représentation ou intervenant sur la vie publique, le souverain décède sur le trône ou abdique, ce régime étant plus sévère que d'autres puisque la sanction est sans appel.
Si les monarchies de l'ancienne Europe sont un exemple de stabilité, elles ne sont pas les seules. Les monarchies du Proche et du Moyen-Orient jouent un rôle à part mais d'une importance croissante. Tour à tour décriées ou présentées comme des garantes d'un équilibre fragile, elles puisent souvent leur légitimité dans un contexte international complexe. Le Japon, qui demeure le dernier empire existant au XXIe siècle, démontre que loin d'être une survivance surannée, l'institution impériale reste cruciale.
Les Japonais, qui n'oseraient critiquer l'existence même de la maison impériale, sont témoins de l'accession du 126e empereur de la plus vieille dynastie du monde, supposée remonter à 2 600 ans.
C'est le point commun entre la Belgique, le Danemark, la Suède, la Norvège, les Pays-Bas, le Luxembourg, le Liechtenstein, Monaco, le Royaume-Uni et l'Espagne. Certains monarques sont déjà entrés dans l'histoire par la longévité de leur règne comme celui d'Elizabeth II, souveraine puis 67 ans. Des héritières et héritiers, bien préparés à leur fonction, sont prêts à assurer des transitions paisibles dans l'enthousiasme des peuples.
Si le principe royal reste encore efficace et soutenu aujourd'hui, c'est probablement par la façon dont une dynastie remplit son mandat. Un royaume, un grand-duché ou une principauté ne sont pas soumis aux élections de chef d'Etat, à la durée d'un mandat ou à une campagne électorale. L'incarnation de l'Etat n'y est pas remise en question. Sauf révolution... Que son pouvoir soit limité à une pure représentation ou intervenant sur la vie publique, le souverain décède sur le trône ou abdique, ce régime étant plus sévère que d'autres puisque la sanction est sans appel.
Si les monarchies de l'ancienne Europe sont un exemple de stabilité, elles ne sont pas les seules. Les monarchies du Proche et du Moyen-Orient jouent un rôle à part mais d'une importance croissante. Tour à tour décriées ou présentées comme des garantes d'un équilibre fragile, elles puisent souvent leur légitimité dans un contexte international complexe. Le Japon, qui demeure le dernier empire existant au XXIe siècle, démontre que loin d'être une survivance surannée, l'institution impériale reste cruciale.
Les Japonais, qui n'oseraient critiquer l'existence même de la maison impériale, sont témoins de l'accession du 126e empereur de la plus vieille dynastie du monde, supposée remonter à 2 600 ans.