Devenir chercheur. Ecrire une thèse en sciences sociales

Par : Moritz Hunsmann, Sébastien Kapp

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  • Nombre de pages359
  • PrésentationBroché
  • Poids0.405 kg
  • Dimensions12,0 cm × 20,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-7132-2416-4
  • EAN9782713224164
  • Date de parution10/10/2013
  • CollectionCas de figure
  • ÉditeurEHESS

Résumé

Encore étudiant, le doctorant est souvent déjà chercheur et enseignant et n'a pas toujours conscience des enjeux et des mécanismes du contexte dans lequel sa thèse s'inscrit. Car s'il y a de toute évidence des règles du jeu, il y a différentes manières de s'y conformer ou de les contourner. Beaucoup d'aspects de la thèse passent pour évidents alors qu'ils méritent d'être étudiés. Comment y réfléchir à titre individuel quand on est pris dans des enjeux qui nous dépassent ? Et surtout, peut-on tenter d'y répondre collectivement ? Abordant à la fois la situation du doctorant, les publications, l'insertion dans des réseaux de recherche, la présentation orale de son travail, les perspectives de carrières après la thèse, ou encore les différentes facettes de l'engagement du chercheur dans le monde social dont il fait partie, ce livre appréhende la recherche en train de se faire.
Etablir le lien entre, d'un côté, une expérience par définition individuelle, nécessairement conditionnée par la place centrale qu'y occupe l'écriture et qui pousse souvent le doctorant à se remettre en question sur le plan personnel, et de l'autre, le contexte institutionnel de la recherche, par définition collectif, dans lequel les doctorants se sentent souvent laissés pour compte : tel est l'enjeu de cet anti-manuel.
Faire de la recherche et écrire une thèse sont des savoir-faire qui non seulement s'apprennent, mais qui se transmettent : un exercice de réflexivité collectif plus nécessaire que jamais.
Encore étudiant, le doctorant est souvent déjà chercheur et enseignant et n'a pas toujours conscience des enjeux et des mécanismes du contexte dans lequel sa thèse s'inscrit. Car s'il y a de toute évidence des règles du jeu, il y a différentes manières de s'y conformer ou de les contourner. Beaucoup d'aspects de la thèse passent pour évidents alors qu'ils méritent d'être étudiés. Comment y réfléchir à titre individuel quand on est pris dans des enjeux qui nous dépassent ? Et surtout, peut-on tenter d'y répondre collectivement ? Abordant à la fois la situation du doctorant, les publications, l'insertion dans des réseaux de recherche, la présentation orale de son travail, les perspectives de carrières après la thèse, ou encore les différentes facettes de l'engagement du chercheur dans le monde social dont il fait partie, ce livre appréhende la recherche en train de se faire.
Etablir le lien entre, d'un côté, une expérience par définition individuelle, nécessairement conditionnée par la place centrale qu'y occupe l'écriture et qui pousse souvent le doctorant à se remettre en question sur le plan personnel, et de l'autre, le contexte institutionnel de la recherche, par définition collectif, dans lequel les doctorants se sentent souvent laissés pour compte : tel est l'enjeu de cet anti-manuel.
Faire de la recherche et écrire une thèse sont des savoir-faire qui non seulement s'apprennent, mais qui se transmettent : un exercice de réflexivité collectif plus nécessaire que jamais.