Deux journées dans les Grands-Bois
Par :Formats :
- Nombre de pages28
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.055 kg
- Dimensions11,5 cm × 21,0 cm × 0,4 cm
- ISBN2-906266-54-X
- EAN9782906266544
- Date de parution01/08/2003
- ÉditeurAlidades
- TraducteurLouis Viardot
Résumé
On retrouve dans ce court récit dont le projet remonte à l'époque des "Mémoires d'un chasseur", mais qui ne fut achevé qu'en 1857, condensés mais bien présents, les thèmes chers à Tourguéniev : une extraordinaire acuité dans la perception de la nature, le souci du portrait et l'intérêt qu'il porte aux manifestations les plus authentiques de l'humanité, le penchant méditatif conduisant le récit vers la tonalité des poèmes en prose, la préoccupation morale.
La traduction de Viardot, publiée à la librairie Hachette en 1858 dans un recueil intitulé "Scènes de la vie russe", malgré quelques tics d'écriture propres à l'époque, témoigne quant à elle de la parenté qui liait les deux hommes.
La traduction de Viardot, publiée à la librairie Hachette en 1858 dans un recueil intitulé "Scènes de la vie russe", malgré quelques tics d'écriture propres à l'époque, témoigne quant à elle de la parenté qui liait les deux hommes.
On retrouve dans ce court récit dont le projet remonte à l'époque des "Mémoires d'un chasseur", mais qui ne fut achevé qu'en 1857, condensés mais bien présents, les thèmes chers à Tourguéniev : une extraordinaire acuité dans la perception de la nature, le souci du portrait et l'intérêt qu'il porte aux manifestations les plus authentiques de l'humanité, le penchant méditatif conduisant le récit vers la tonalité des poèmes en prose, la préoccupation morale.
La traduction de Viardot, publiée à la librairie Hachette en 1858 dans un recueil intitulé "Scènes de la vie russe", malgré quelques tics d'écriture propres à l'époque, témoigne quant à elle de la parenté qui liait les deux hommes.
La traduction de Viardot, publiée à la librairie Hachette en 1858 dans un recueil intitulé "Scènes de la vie russe", malgré quelques tics d'écriture propres à l'époque, témoigne quant à elle de la parenté qui liait les deux hommes.