Destins de la noblesse bordelaise (1770-1830). Volume 1

Par : Michel Figeac

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages476
  • PrésentationBroché
  • Poids0.855 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,7 cm
  • ISBN978-88-6976-012-9
  • EAN9788869760129
  • Date de parution09/02/2016
  • ÉditeurMimesis

Résumé

La noblesse bordelaise apparaissait forte de plus de 800 familles en 1789 et globalement assez récente car souvent issue des intérêts commerciaux. Elle était dominée par les magistrats du Parlement et très riche car adossée à une puissante propriété viticole qui, grâce aux propriétaires nobles, avait effectué au XVIIIe siècle la mutation de la qualité. Très fortunés, à la veille de la révolution, les nobles bordelais furent particulièrement frappés par la Terreur, dans leur vie comme dans leurs biens.
L'une des originalités de ce travail est justement de ne pas considérer 1789 comme une frontière infranchissable et d'aller jusqu'en 1830 pour constater qu'anémié et réduit, le groupe comportait encore des positions très fortes dans l'économie locale comme dans la vie politique. " Fallait-il que tout change pour que tout reste identique " se serait exclamé le Guépard de Lampedusa devant le " faubourg Saint-Germain de Bordeaux " ?
La noblesse bordelaise apparaissait forte de plus de 800 familles en 1789 et globalement assez récente car souvent issue des intérêts commerciaux. Elle était dominée par les magistrats du Parlement et très riche car adossée à une puissante propriété viticole qui, grâce aux propriétaires nobles, avait effectué au XVIIIe siècle la mutation de la qualité. Très fortunés, à la veille de la révolution, les nobles bordelais furent particulièrement frappés par la Terreur, dans leur vie comme dans leurs biens.
L'une des originalités de ce travail est justement de ne pas considérer 1789 comme une frontière infranchissable et d'aller jusqu'en 1830 pour constater qu'anémié et réduit, le groupe comportait encore des positions très fortes dans l'économie locale comme dans la vie politique. " Fallait-il que tout change pour que tout reste identique " se serait exclamé le Guépard de Lampedusa devant le " faubourg Saint-Germain de Bordeaux " ?