Descartes. Admiration et sensibilité

Par : Thibaut Gress

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  • Nombre de pages168
  • PrésentationBroché
  • Poids0.135 kg
  • Dimensions11,6 cm × 17,6 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-13-060808-0
  • EAN9782130608080
  • Date de parution19/04/2013
  • CollectionPhilosophies
  • ÉditeurPUF

Résumé

Souvent ramenée aux écrits de Kant et Baumgarten, la question esthétique a rarement été abordée dans l’oeuvre de Descartes, ce que se propose pourtant d’examiner le présent ouvrage. Interrogeant le rapport de l’esprit à la sensibilité, mais aussi au plaisir (delectatio), il cherche à déterminer aussi bien la présence de conditions de possibilité d’une esthétique au sein des écrits cartésiens que la singularité de celle-ci.
Confrontant les textes de Descartes avec ceux de Poussin et de Le Brun, ce livre rencontre les débats classiques autour de la détermination objective du beau et conclut au refus cartésien d’établir une norme universelle de la beauté comme si cette dernière demeurait étrangère à toute approche rationnelle. Pour autant, l’ouvrage conclut sur l’étude d’une passion singulière, celle de l’admiration, par laquelle se révèle la possibilité d’une approche du beau qui fut à la fois universelle et rationnelle.
Ce sont donc bien deux façons non concurrentes d’envisager la question du beau que cet ouvrage se propose de mettre à jour dans l’ensemble des écrits cartésiens.
Souvent ramenée aux écrits de Kant et Baumgarten, la question esthétique a rarement été abordée dans l’oeuvre de Descartes, ce que se propose pourtant d’examiner le présent ouvrage. Interrogeant le rapport de l’esprit à la sensibilité, mais aussi au plaisir (delectatio), il cherche à déterminer aussi bien la présence de conditions de possibilité d’une esthétique au sein des écrits cartésiens que la singularité de celle-ci.
Confrontant les textes de Descartes avec ceux de Poussin et de Le Brun, ce livre rencontre les débats classiques autour de la détermination objective du beau et conclut au refus cartésien d’établir une norme universelle de la beauté comme si cette dernière demeurait étrangère à toute approche rationnelle. Pour autant, l’ouvrage conclut sur l’étude d’une passion singulière, celle de l’admiration, par laquelle se révèle la possibilité d’une approche du beau qui fut à la fois universelle et rationnelle.
Ce sont donc bien deux façons non concurrentes d’envisager la question du beau que cet ouvrage se propose de mettre à jour dans l’ensemble des écrits cartésiens.