Des revues et des femmes. La place des femmes dans les revues littéraires de la Belle Epoque jusqu'à la fin des années 1950

Par : Amélie Auzoux, Camille Koskas, Élisabeth Russo
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  • Nombre de pages306
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.425 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-7453-5676-5
  • EAN9782745356765
  • Date de parution26/02/2022
  • CollectionLittérature et genre
  • ÉditeurHonoré Champion

Résumé

De la revue Femina à la revue Tel quel, en passant par la citadelle - masculine ? - de La NRF, où se trouvent les femmes dans les revues littéraires de la première moitié du XXe siècle ? De la vitrine que constituent les sommaires aux coulisses de leur conception, les revues sont le lieu où s'exercent les rapports de force les plus imperceptibles, que seule une approche approfondie, attentive à la part souterraine de leurs activités, permet d'appréhender.
Parmi ces acteurs oubliés, les femmes constituent une catégorie particulièrement peu visible, alors qu'elles ont été amenées à accomplir les activités les plus diverses : directrices de revues, critiques, traductrices, auteures et mécènes. Cet ouvrage interroge la présence, la visibilité et les diverses fonctions des femmes dans les revues littéraires, de la Belle Epoque aux années 1950, en France.
Ont-elles intériorisé les "règles de l'art" masculin de la littérature ? Dans quelle mesure s'affirment-elles ou reconduisent-elles un rapport de genre qui leur est a priori défavorable ?
De la revue Femina à la revue Tel quel, en passant par la citadelle - masculine ? - de La NRF, où se trouvent les femmes dans les revues littéraires de la première moitié du XXe siècle ? De la vitrine que constituent les sommaires aux coulisses de leur conception, les revues sont le lieu où s'exercent les rapports de force les plus imperceptibles, que seule une approche approfondie, attentive à la part souterraine de leurs activités, permet d'appréhender.
Parmi ces acteurs oubliés, les femmes constituent une catégorie particulièrement peu visible, alors qu'elles ont été amenées à accomplir les activités les plus diverses : directrices de revues, critiques, traductrices, auteures et mécènes. Cet ouvrage interroge la présence, la visibilité et les diverses fonctions des femmes dans les revues littéraires, de la Belle Epoque aux années 1950, en France.
Ont-elles intériorisé les "règles de l'art" masculin de la littérature ? Dans quelle mesure s'affirment-elles ou reconduisent-elles un rapport de genre qui leur est a priori défavorable ?
Amélie Auzoux, agrégée de lettres modernes et docteure de Sorbonne Université en littérature française, est l'auteur d'une thèse intitulée "Le "cosmopolitisme" de Valery Larbaud, écrivain, critique et traducteur" . Ses travaux portent sur le rapport à l'Autre en littérature, les enjeux du processus de traduction dans les transferts culturels et les courants idéologiques de la première moitié du XXe siècle.