Des Pharaons venus d'Afrique. La cachette de Kerma
Par : ,Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages215
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids2.01 kg
- Dimensions26,0 cm × 35,0 cm × 2,5 cm
- ISBN2-85088-216-X
- EAN9782850882166
- Date de parution12/10/2005
- ÉditeurCitadelles et Mazenod
- PréfacierJean Leclant
Résumé
Le 11 janvier 2003, la mission archéologique de l'Université de Genève à Kerma (Soudan), dirigée par Charles Bonnet, mettait au jour, dans l'un des temples de la ville égyptienne de Pnoubs (Doukki Gel), une fosse renfermant sept statues
monumentales en granit. Ces statues, brisées intentionnellement mais néanmoins en excellent état de conservation, représentent les deux derniers pharaons de la XXVe dynastie, Taharqa et Tanoutamon, d'origine nubienne, qui régnèrent sur l'Egypte et la Nubie. Figuraient aussi les trois premiers souverains de la dynastie napatéenne Senkamanisken, Anlamani et Aspelta. La découverte intervenait dans la ville nubienne de Kerma et son immense nécropole, refondée par les Egyptiens au début du Nouvel Empire, lors de leur conquête de ce territoire. Les sept statues royales, de très belle facture, modifient complètement notre vision de l'art de cette période. Tout particulièrement, la statue
colossale de Taharqa, exécutée sans doute par un
artiste égyptien, compte parmi les chefs-d'œuvre de la sculpture universelle. Cet ouvrage retrace l'épopée d'un royaume méconnu, lorsque les pharaons venaient d'Afrique. Charles Bonnet et Dominique Valbelle nous content l'extraordinaire histoire de leur découverte qui constitue un bouleversement majeur dans l'égyptologie.
Le 11 janvier 2003, la mission archéologique de l'Université de Genève à Kerma (Soudan), dirigée par Charles Bonnet, mettait au jour, dans l'un des temples de la ville égyptienne de Pnoubs (Doukki Gel), une fosse renfermant sept statues
monumentales en granit. Ces statues, brisées intentionnellement mais néanmoins en excellent état de conservation, représentent les deux derniers pharaons de la XXVe dynastie, Taharqa et Tanoutamon, d'origine nubienne, qui régnèrent sur l'Egypte et la Nubie. Figuraient aussi les trois premiers souverains de la dynastie napatéenne Senkamanisken, Anlamani et Aspelta. La découverte intervenait dans la ville nubienne de Kerma et son immense nécropole, refondée par les Egyptiens au début du Nouvel Empire, lors de leur conquête de ce territoire. Les sept statues royales, de très belle facture, modifient complètement notre vision de l'art de cette période. Tout particulièrement, la statue
colossale de Taharqa, exécutée sans doute par un
artiste égyptien, compte parmi les chefs-d'œuvre de la sculpture universelle. Cet ouvrage retrace l'épopée d'un royaume méconnu, lorsque les pharaons venaient d'Afrique. Charles Bonnet et Dominique Valbelle nous content l'extraordinaire histoire de leur découverte qui constitue un bouleversement majeur dans l'égyptologie.










