Le Grand Orient de France pouvait-il se désintéresser du 100e anniversaire d'une des lois fondatrices de la démocratie française dont la franc-maçonnerie a été sinon la principale instigatrice du moins - incontestablement - le berceau ? Poser la question, c'est y répondre. Ce centenaire n'a pourtant guère suscité de grande production éditoriale. En organisant un colloque à Rennes en septembre 2001, en publiant des analyses particulièrement éclairantes sur l'origine d'une loi qui régit le vaste champ de la vie associative, les francs-maçons du GODF se sont réappropriés tout un pan -généralement méconnu - de leur histoire.
Le Grand Orient de France pouvait-il se désintéresser du 100e anniversaire d'une des lois fondatrices de la démocratie française dont la franc-maçonnerie a été sinon la principale instigatrice du moins - incontestablement - le berceau ? Poser la question, c'est y répondre. Ce centenaire n'a pourtant guère suscité de grande production éditoriale. En organisant un colloque à Rennes en septembre 2001, en publiant des analyses particulièrement éclairantes sur l'origine d'une loi qui régit le vaste champ de la vie associative, les francs-maçons du GODF se sont réappropriés tout un pan -généralement méconnu - de leur histoire.