Des liens et des lieux : mémoires libano-françaises
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- Nombre de pages417
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.7 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,1 cm
- ISBN978-2-7053-4075-9
- EAN9782705340759
- Date de parution01/01/2021
- ÉditeurGeuthner (Paul)
- PréfacierDaniel Rondeau
Résumé
A l'heure du centenaire de l'Etat libanais, voici un ouvrage collectif qui revisite les liens entre le Liban et la France sur le "temps long" de la politique et de la diplomatie, qui questionne les échanges et les transferts culturels et puise au plus profond des sources de l'Histoire contemporaine. Par touches successives et en différents domaines, des morceaux d'histoires se croisent, des amitiés se tissent, des complexités s'élaborent.
Proclamé dans ses frontières actuelles par le général Henri Gouraud le 1er septembre 1920, l'Etat libanais aurait dû célébrer un autre centenaire : celui de ses acquis, de ses réussites. Cette date aurait dû constituer une célébration nationale. Le constat est celui d'un d'échec, qui relègue le Liban au rang d'Etat failli, d'Etat "déquillé". La liste de ses manquements est longue ! Mais une relation d'amitié, jamais discontinuée, persiste entre le Liban et la France.
Il faut lui "reconnaître un caractère exceptionnel et énigmatique. Pourquoi deux peuples s'obstinent-ils à se penser liés par la raison et par le coeur ? Comment l'effort des générations successives a-t-il constamment servi ce lien qui dépasse l'ordinaire diplomatique ou économique, et semble relever de la nécessité ? ".
Proclamé dans ses frontières actuelles par le général Henri Gouraud le 1er septembre 1920, l'Etat libanais aurait dû célébrer un autre centenaire : celui de ses acquis, de ses réussites. Cette date aurait dû constituer une célébration nationale. Le constat est celui d'un d'échec, qui relègue le Liban au rang d'Etat failli, d'Etat "déquillé". La liste de ses manquements est longue ! Mais une relation d'amitié, jamais discontinuée, persiste entre le Liban et la France.
Il faut lui "reconnaître un caractère exceptionnel et énigmatique. Pourquoi deux peuples s'obstinent-ils à se penser liés par la raison et par le coeur ? Comment l'effort des générations successives a-t-il constamment servi ce lien qui dépasse l'ordinaire diplomatique ou économique, et semble relever de la nécessité ? ".
A l'heure du centenaire de l'Etat libanais, voici un ouvrage collectif qui revisite les liens entre le Liban et la France sur le "temps long" de la politique et de la diplomatie, qui questionne les échanges et les transferts culturels et puise au plus profond des sources de l'Histoire contemporaine. Par touches successives et en différents domaines, des morceaux d'histoires se croisent, des amitiés se tissent, des complexités s'élaborent.
Proclamé dans ses frontières actuelles par le général Henri Gouraud le 1er septembre 1920, l'Etat libanais aurait dû célébrer un autre centenaire : celui de ses acquis, de ses réussites. Cette date aurait dû constituer une célébration nationale. Le constat est celui d'un d'échec, qui relègue le Liban au rang d'Etat failli, d'Etat "déquillé". La liste de ses manquements est longue ! Mais une relation d'amitié, jamais discontinuée, persiste entre le Liban et la France.
Il faut lui "reconnaître un caractère exceptionnel et énigmatique. Pourquoi deux peuples s'obstinent-ils à se penser liés par la raison et par le coeur ? Comment l'effort des générations successives a-t-il constamment servi ce lien qui dépasse l'ordinaire diplomatique ou économique, et semble relever de la nécessité ? ".
Proclamé dans ses frontières actuelles par le général Henri Gouraud le 1er septembre 1920, l'Etat libanais aurait dû célébrer un autre centenaire : celui de ses acquis, de ses réussites. Cette date aurait dû constituer une célébration nationale. Le constat est celui d'un d'échec, qui relègue le Liban au rang d'Etat failli, d'Etat "déquillé". La liste de ses manquements est longue ! Mais une relation d'amitié, jamais discontinuée, persiste entre le Liban et la France.
Il faut lui "reconnaître un caractère exceptionnel et énigmatique. Pourquoi deux peuples s'obstinent-ils à se penser liés par la raison et par le coeur ? Comment l'effort des générations successives a-t-il constamment servi ce lien qui dépasse l'ordinaire diplomatique ou économique, et semble relever de la nécessité ? ".