Des éclairs de lune. Au chevet de mes 20 ans
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- Nombre de pages242
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.315 kg
- Dimensions14,2 cm × 21,2 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-36890-991-1
- EAN9782368909911
- Date de parution20/10/2022
- ÉditeurLe Passeur éditeur
Résumé
Il s'agit du journal d'un jeune artiste en devenir, écrivain en herbe, poète qui a " peur de mourir ", observe la société de son temps, dans les années 1976, et veut " jouir de l'instant ", malgré son mal de vivre. A 20 ans il " veut tout prendre et tout comprendre ", sorte de révolté, entre un Byron et un Musset d'aujourd'hui... Il écrit la " Confession d'un enfant de la fin du XXe siècle ". C'est l'errance d'un jeune homme entre manifs et écriture, musique et beaux-arts, idéal et désillusion, amours maladroites et quotidien désabusé.
On y partage son désarroi d'habiter dans un monde pour lequel il n'est pas fait. C'est aussi l'évocation d'une France populaire de l'époque, nonchalante, de l'après 68. Le récit est truffé de petits textes poétiques (parfois en écriture automatique), certains écrits plus tardivement (jusqu'en 2020), et insérés dans le journal. Le style est à la fois très libre et rythmé, dans un esprit un peu surréaliste, une succession de fragments de vie cousus par une musique intérieure, où tout est ressenti avant tout poétiquement.
" La mémoire se doit d'admettre que l'instant existe pour toujours. "
On y partage son désarroi d'habiter dans un monde pour lequel il n'est pas fait. C'est aussi l'évocation d'une France populaire de l'époque, nonchalante, de l'après 68. Le récit est truffé de petits textes poétiques (parfois en écriture automatique), certains écrits plus tardivement (jusqu'en 2020), et insérés dans le journal. Le style est à la fois très libre et rythmé, dans un esprit un peu surréaliste, une succession de fragments de vie cousus par une musique intérieure, où tout est ressenti avant tout poétiquement.
" La mémoire se doit d'admettre que l'instant existe pour toujours. "
Il s'agit du journal d'un jeune artiste en devenir, écrivain en herbe, poète qui a " peur de mourir ", observe la société de son temps, dans les années 1976, et veut " jouir de l'instant ", malgré son mal de vivre. A 20 ans il " veut tout prendre et tout comprendre ", sorte de révolté, entre un Byron et un Musset d'aujourd'hui... Il écrit la " Confession d'un enfant de la fin du XXe siècle ". C'est l'errance d'un jeune homme entre manifs et écriture, musique et beaux-arts, idéal et désillusion, amours maladroites et quotidien désabusé.
On y partage son désarroi d'habiter dans un monde pour lequel il n'est pas fait. C'est aussi l'évocation d'une France populaire de l'époque, nonchalante, de l'après 68. Le récit est truffé de petits textes poétiques (parfois en écriture automatique), certains écrits plus tardivement (jusqu'en 2020), et insérés dans le journal. Le style est à la fois très libre et rythmé, dans un esprit un peu surréaliste, une succession de fragments de vie cousus par une musique intérieure, où tout est ressenti avant tout poétiquement.
" La mémoire se doit d'admettre que l'instant existe pour toujours. "
On y partage son désarroi d'habiter dans un monde pour lequel il n'est pas fait. C'est aussi l'évocation d'une France populaire de l'époque, nonchalante, de l'après 68. Le récit est truffé de petits textes poétiques (parfois en écriture automatique), certains écrits plus tardivement (jusqu'en 2020), et insérés dans le journal. Le style est à la fois très libre et rythmé, dans un esprit un peu surréaliste, une succession de fragments de vie cousus par une musique intérieure, où tout est ressenti avant tout poétiquement.
" La mémoire se doit d'admettre que l'instant existe pour toujours. "