Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le De Mulieribus claris, traité des femmes célèbres (1361-62), fait partie des oeuvres latines de la fin de la vie de Boccace, dont la diffusion et...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 3 octobre et le 12 octobre
En librairie
Résumé
Le De Mulieribus claris, traité des femmes célèbres (1361-62), fait partie des oeuvres latines de la fin de la vie de Boccace, dont la diffusion et l'illustration ont été en leur temps supérieures à celles mêmes du Décaméron. Tout comme Pétrarque, avec qui il a contribué à fonder la littérature en toscan, l'auteur conçoit le projet d'une nouvelle culture humaniste ; il désire conquérir le public des lettrés, après avoir fait les délices de la bourgeoisie grâce à son Décaméron. L'ouvrage, qui se situe toujours dans la tradition médiévale des recueils d'exemples, comporte cent-six Vies de femmes réelles ou imaginaires, mêlant des destinées illustres à d'autres qui ne sont restées que par une anecdote obscure. La traduction du De Mulieribus dont nous présentons des extraits a été publiée à Lyon en 1551 chez Guillaume Rouillé, d'après la traduction italienne de L. A. Ridolfi. C'est cette version dont Brantôme recopie un passage dans son Recueil des Dames, pour rendre hommage au " beau livre " du " grand Boccaccio ". Seule peut-être cette langue du XVIe siècle, verte et rabelaisienne, était à même d'exprimer les ruptures de ton d'un texte protéiforme, tour à tour éloquent, gracieux ou grivois, et qui a inspiré des auteurs tels Christine de Pisan, Castiglione ou Chaucer.