Annick Georgeon collectionne des costumes depuis 35 ans, en étant attentive aux terres du Poitou-Charentes où elle vit. Monique et Rémy Prin, créateurs textiles, ont beaucoup voyagé à la découverte des tissus d'ailleurs. Rémy a déjà écrit une quinzaine d'ouvrages, dont Ikats, tissus de vie (2017) et Le Textile et l'Image (2021).
Des costumes pour lire le monde. 1770-1915
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- Nombre de pages248
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.06 kg
- Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-9529905-6-1
- EAN9782952990561
- Date de parution04/10/2022
- ÉditeurParole et patrimoine
Résumé
Les vêtements, c'est-à-dire les images au plus proche d'eux-mêmes dont les femmes et les hommes se couvrent, sont un moyen effectif de situer leurs désirs, les dominances qu'ils exercent les uns sur les autres, de déceler, même modestement, ce qui les mène. Pour dire autrement, il y a la magnificence réelle de ces costumes, leur pesant historique, leur contexte de réalisation. Mais il y a aussi le jeu des modes, si voisin souvent de l'irrationnel et, au-delà, les mouvements profonds de l'économie et des " valeurs " qui changent la société.
Du début à la fin du parcours, de 1770 à 1915, c'est un changement d'univers complet qui se dessine, à travers de multiples variations du costume féminin et d'évolutions marquées du costume masculin. Au-delà des costumes eux-mêmes, ce sont les modes de production qui changent, tout comme les modes de diffusion et de communication. Au total, en rencontrant le paysan des villages, ou la femme de la ville proche, ou encore celle de la cour puis des lieux centrés de pouvoir qui la remplacent, ce sont bien les scènes de la société qu'on déchiffre, à travers le prisme des costumes, vision privilégiée et révélatrice à la fois de l'intime et du mouvement du monde.
Du début à la fin du parcours, de 1770 à 1915, c'est un changement d'univers complet qui se dessine, à travers de multiples variations du costume féminin et d'évolutions marquées du costume masculin. Au-delà des costumes eux-mêmes, ce sont les modes de production qui changent, tout comme les modes de diffusion et de communication. Au total, en rencontrant le paysan des villages, ou la femme de la ville proche, ou encore celle de la cour puis des lieux centrés de pouvoir qui la remplacent, ce sont bien les scènes de la société qu'on déchiffre, à travers le prisme des costumes, vision privilégiée et révélatrice à la fois de l'intime et du mouvement du monde.
Les vêtements, c'est-à-dire les images au plus proche d'eux-mêmes dont les femmes et les hommes se couvrent, sont un moyen effectif de situer leurs désirs, les dominances qu'ils exercent les uns sur les autres, de déceler, même modestement, ce qui les mène. Pour dire autrement, il y a la magnificence réelle de ces costumes, leur pesant historique, leur contexte de réalisation. Mais il y a aussi le jeu des modes, si voisin souvent de l'irrationnel et, au-delà, les mouvements profonds de l'économie et des " valeurs " qui changent la société.
Du début à la fin du parcours, de 1770 à 1915, c'est un changement d'univers complet qui se dessine, à travers de multiples variations du costume féminin et d'évolutions marquées du costume masculin. Au-delà des costumes eux-mêmes, ce sont les modes de production qui changent, tout comme les modes de diffusion et de communication. Au total, en rencontrant le paysan des villages, ou la femme de la ville proche, ou encore celle de la cour puis des lieux centrés de pouvoir qui la remplacent, ce sont bien les scènes de la société qu'on déchiffre, à travers le prisme des costumes, vision privilégiée et révélatrice à la fois de l'intime et du mouvement du monde.
Du début à la fin du parcours, de 1770 à 1915, c'est un changement d'univers complet qui se dessine, à travers de multiples variations du costume féminin et d'évolutions marquées du costume masculin. Au-delà des costumes eux-mêmes, ce sont les modes de production qui changent, tout comme les modes de diffusion et de communication. Au total, en rencontrant le paysan des villages, ou la femme de la ville proche, ou encore celle de la cour puis des lieux centrés de pouvoir qui la remplacent, ce sont bien les scènes de la société qu'on déchiffre, à travers le prisme des costumes, vision privilégiée et révélatrice à la fois de l'intime et du mouvement du monde.