Des communistes en situation coloniale (1920-1939). "L'Algérie lutte et espère"

Par : Eloïse Dreure
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  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.51 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,9 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-36441-531-7
  • EAN9782364415317
  • Date de parution13/11/2024
  • CollectionHistoires
  • ÉditeurEU de Dijon
  • PréfacierJean Vigreux

Résumé

Dès 1920, le Parti communiste français nouvellement créé voit son influence s'étendre jusqu'à l'Algérie coloniale. Des militants socialistes, issus de la population européenne de la colonie, rejoignent massivement la IIIe Internationale dont ils doivent adopter la ligne résolument anticolonialiste. Cet ouvrage restitue l'histoire des communistes algériens dont la lutte pour l'indépendance de l'Algérie entre en conflit avec leurs propres résistances mentales, nourries de l'idéologie coloniale et de leur position privilégiée au sein de la colonie.
Pourtant, et malgré la répression féroce dont ils font l'objet, ils participent résolument à la politisation de la population colonisée, entrent en contact avec les nationalistes algériens et s'inscrivent dans les prémices du mouvement de libération national. Face à la montée du fascisme, la formation du Front populaire mobilise les militants, y compris parmi la population colonisée. Mais cette période, qui est celle de l'union des partis de gauche sonne aussi, pour un temps, la fin de la lutte contre l'impérialisme et provoque le désarroi chez un certain nombre de communistes algériens.
Dès 1920, le Parti communiste français nouvellement créé voit son influence s'étendre jusqu'à l'Algérie coloniale. Des militants socialistes, issus de la population européenne de la colonie, rejoignent massivement la IIIe Internationale dont ils doivent adopter la ligne résolument anticolonialiste. Cet ouvrage restitue l'histoire des communistes algériens dont la lutte pour l'indépendance de l'Algérie entre en conflit avec leurs propres résistances mentales, nourries de l'idéologie coloniale et de leur position privilégiée au sein de la colonie.
Pourtant, et malgré la répression féroce dont ils font l'objet, ils participent résolument à la politisation de la population colonisée, entrent en contact avec les nationalistes algériens et s'inscrivent dans les prémices du mouvement de libération national. Face à la montée du fascisme, la formation du Front populaire mobilise les militants, y compris parmi la population colonisée. Mais cette période, qui est celle de l'union des partis de gauche sonne aussi, pour un temps, la fin de la lutte contre l'impérialisme et provoque le désarroi chez un certain nombre de communistes algériens.