En 1987, Le Fils, écrivain cyclothymique, débauché et caméléon faisait son apparition dans la pièce éponyme de Christian Rullier qui, jouée par 100 comédiens à la Cigale dans une mise en scène de François Rancillac, remporta le Grand Prix du Théâtre de la ville de Paris. Depuis cette date, elle connaît un important succès en France et à l'étranger. Aujourd'hui, avec Dernières Outrances, un nouveau chapitre s'ouvre dans cette aventure littéraire et théâtrale. En effet, des centaines de textes écrits de la main du Fils ont été retrouvés par Christian Rullier. À moins que ce ne soit l'inverse. À moins qu'il ne s'agisse d'un autre phénomène, étrange et angoissant, comme le laisse supposer le monologue introductif du signataire de ce livre. Tous les textes n'étaient pas publiables en raison de leur extrême violence et de leur caractère pornographique. Certains durent être détruits car ils contenaient des noms, avec prouesses et numéros de téléphone. D'autres encore étaient illisibles, couverts de taches d'alcools et de liquides suspects. Bref, de ce tas de feuillets anarchiques à la chronologie malmenée, seules 150 pages environ ont pu être "sauvées" et "triées". Naturellement, cette reconstitution de ce que l'on pourrait appeler les "confessions" du Fils, ou de Rullier, bien qu'ayant nécessité plusieurs années de travail, est tout à fait approximative. Il convient cependant de noter que l'issue de ce roman fragmenté est d'ores et déjà considérée par les spécialistes et par l'auteur lui-même comme "plausible".
En 1987, Le Fils, écrivain cyclothymique, débauché et caméléon faisait son apparition dans la pièce éponyme de Christian Rullier qui, jouée par 100 comédiens à la Cigale dans une mise en scène de François Rancillac, remporta le Grand Prix du Théâtre de la ville de Paris. Depuis cette date, elle connaît un important succès en France et à l'étranger. Aujourd'hui, avec Dernières Outrances, un nouveau chapitre s'ouvre dans cette aventure littéraire et théâtrale. En effet, des centaines de textes écrits de la main du Fils ont été retrouvés par Christian Rullier. À moins que ce ne soit l'inverse. À moins qu'il ne s'agisse d'un autre phénomène, étrange et angoissant, comme le laisse supposer le monologue introductif du signataire de ce livre. Tous les textes n'étaient pas publiables en raison de leur extrême violence et de leur caractère pornographique. Certains durent être détruits car ils contenaient des noms, avec prouesses et numéros de téléphone. D'autres encore étaient illisibles, couverts de taches d'alcools et de liquides suspects. Bref, de ce tas de feuillets anarchiques à la chronologie malmenée, seules 150 pages environ ont pu être "sauvées" et "triées". Naturellement, cette reconstitution de ce que l'on pourrait appeler les "confessions" du Fils, ou de Rullier, bien qu'ayant nécessité plusieurs années de travail, est tout à fait approximative. Il convient cependant de noter que l'issue de ce roman fragmenté est d'ores et déjà considérée par les spécialistes et par l'auteur lui-même comme "plausible".