Dernières joies avant la mort
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- Nombre de pages189
- PrésentationBroché
- Poids0.19 kg
- Dimensions11,4 cm × 20,3 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-204-09565-5
- EAN9782204095655
- Date de parution20/04/2011
- ÉditeurCerf
Résumé
Ecrit par une protestante, en charge d'aumônerie, ce texte aborde deux questions cruciales : comment la personne qui va mourir vit-elle ses derniers jours ? comment l'accompagner de la manière la plus efficace possible ? Cet ouvrage, étayé par une expérience pratique d'accompagnement des personnes en fin de vie, s'attache à montrer qu'une fois la question de la douleur résolue à l'aide d'antalgiques, chacun peut vivre en toute quiétude ses derniers jours, en éprouvant des joies souvent inattendues.
En faisant parfois des découvertes essentielles, non envisagées dans sa vie de bien-portant, tels l'altruisme, la solidarité, la charité, l'amitié, et très souvent, y compris au tout dernier moment, celle de Dieu. Sans insister sur les questions d'ordre religieux, l'auteur a surtout voulu réconforter les humains que nous sommes tous, angoissés par la perspective de la mort. Il est temps de briser les tabous : la mort peut et doit être vécue sereinement.
Elle est une fatalité, donc inéluctable, mais la charge de tristesse et de culpabilité peut être grandement atténuée. L'auteur a perdu son fils aîné, âgé de vingt-huit ans. Forte de cette expérience, elle a donc pu approcher les personnes en fin de vie et leurs familles, en connaissance de cause. Elle s'est aperçue que la mort n'est pas si dramatique qu'on s'attache à le penser dans les civilisations occidentales.
Celle-ci n'est pas la fin de tout. C'est un simple passage, que nous tous devrions nous préparer à franchir sans peur. Puisse ce modeste texte nous y aider...
En faisant parfois des découvertes essentielles, non envisagées dans sa vie de bien-portant, tels l'altruisme, la solidarité, la charité, l'amitié, et très souvent, y compris au tout dernier moment, celle de Dieu. Sans insister sur les questions d'ordre religieux, l'auteur a surtout voulu réconforter les humains que nous sommes tous, angoissés par la perspective de la mort. Il est temps de briser les tabous : la mort peut et doit être vécue sereinement.
Elle est une fatalité, donc inéluctable, mais la charge de tristesse et de culpabilité peut être grandement atténuée. L'auteur a perdu son fils aîné, âgé de vingt-huit ans. Forte de cette expérience, elle a donc pu approcher les personnes en fin de vie et leurs familles, en connaissance de cause. Elle s'est aperçue que la mort n'est pas si dramatique qu'on s'attache à le penser dans les civilisations occidentales.
Celle-ci n'est pas la fin de tout. C'est un simple passage, que nous tous devrions nous préparer à franchir sans peur. Puisse ce modeste texte nous y aider...
Ecrit par une protestante, en charge d'aumônerie, ce texte aborde deux questions cruciales : comment la personne qui va mourir vit-elle ses derniers jours ? comment l'accompagner de la manière la plus efficace possible ? Cet ouvrage, étayé par une expérience pratique d'accompagnement des personnes en fin de vie, s'attache à montrer qu'une fois la question de la douleur résolue à l'aide d'antalgiques, chacun peut vivre en toute quiétude ses derniers jours, en éprouvant des joies souvent inattendues.
En faisant parfois des découvertes essentielles, non envisagées dans sa vie de bien-portant, tels l'altruisme, la solidarité, la charité, l'amitié, et très souvent, y compris au tout dernier moment, celle de Dieu. Sans insister sur les questions d'ordre religieux, l'auteur a surtout voulu réconforter les humains que nous sommes tous, angoissés par la perspective de la mort. Il est temps de briser les tabous : la mort peut et doit être vécue sereinement.
Elle est une fatalité, donc inéluctable, mais la charge de tristesse et de culpabilité peut être grandement atténuée. L'auteur a perdu son fils aîné, âgé de vingt-huit ans. Forte de cette expérience, elle a donc pu approcher les personnes en fin de vie et leurs familles, en connaissance de cause. Elle s'est aperçue que la mort n'est pas si dramatique qu'on s'attache à le penser dans les civilisations occidentales.
Celle-ci n'est pas la fin de tout. C'est un simple passage, que nous tous devrions nous préparer à franchir sans peur. Puisse ce modeste texte nous y aider...
En faisant parfois des découvertes essentielles, non envisagées dans sa vie de bien-portant, tels l'altruisme, la solidarité, la charité, l'amitié, et très souvent, y compris au tout dernier moment, celle de Dieu. Sans insister sur les questions d'ordre religieux, l'auteur a surtout voulu réconforter les humains que nous sommes tous, angoissés par la perspective de la mort. Il est temps de briser les tabous : la mort peut et doit être vécue sereinement.
Elle est une fatalité, donc inéluctable, mais la charge de tristesse et de culpabilité peut être grandement atténuée. L'auteur a perdu son fils aîné, âgé de vingt-huit ans. Forte de cette expérience, elle a donc pu approcher les personnes en fin de vie et leurs familles, en connaissance de cause. Elle s'est aperçue que la mort n'est pas si dramatique qu'on s'attache à le penser dans les civilisations occidentales.
Celle-ci n'est pas la fin de tout. C'est un simple passage, que nous tous devrions nous préparer à franchir sans peur. Puisse ce modeste texte nous y aider...