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Depuis je prends des trains

Par : Christian Lutz
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  • Nombre de pages168
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-87593-598-4
  • EAN9782875935984
  • Date de parution09/12/2025
  • CollectionThéâtre
  • ÉditeurSamsa (Editions)

Résumé

Otto Silbermann est un homme d'affaires en vue à Berlin, il est contraint de fuir la barbarie à la déclaration des Nuits de Cristal par les nazis en 1938. Il va tout perdre. En trois joursA : sa femme, ses affaires, ses amis, sa fortune... Comme Stefan Zweig (qui fuira quelques années plus tôt en 1934), Silbermann n'entrevoit aucune issue en Europe. Que faire ? Il décide de prendre des trains... La fuite d'Otto Silbermann révèle des questions existentielles, une catharsis à travers le temps et l'espace qui nous interpelle, il est question : de la valeur de l'amitié, de la faiblesse des riches, de la pertinence de l'Histoire et de l'Ego, de l'absurde, de son acceptation, du triomphe de la bêtise ? Depuis je prends des trains est librement inspiré, traduit et adapaté pour le théâtre du roman d'U.
A. Boschwitz, The Man who took trains (Hamish Hamilton, 1939 ; en français Le Voyageur). Boschwitz rédige probablement son roman au Luxembourg et/ou à Bruxelles durant sa propre fuite face aux nazis.
Otto Silbermann est un homme d'affaires en vue à Berlin, il est contraint de fuir la barbarie à la déclaration des Nuits de Cristal par les nazis en 1938. Il va tout perdre. En trois joursA : sa femme, ses affaires, ses amis, sa fortune... Comme Stefan Zweig (qui fuira quelques années plus tôt en 1934), Silbermann n'entrevoit aucune issue en Europe. Que faire ? Il décide de prendre des trains... La fuite d'Otto Silbermann révèle des questions existentielles, une catharsis à travers le temps et l'espace qui nous interpelle, il est question : de la valeur de l'amitié, de la faiblesse des riches, de la pertinence de l'Histoire et de l'Ego, de l'absurde, de son acceptation, du triomphe de la bêtise ? Depuis je prends des trains est librement inspiré, traduit et adapaté pour le théâtre du roman d'U.
A. Boschwitz, The Man who took trains (Hamish Hamilton, 1939 ; en français Le Voyageur). Boschwitz rédige probablement son roman au Luxembourg et/ou à Bruxelles durant sa propre fuite face aux nazis.
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