Depuis 60 ans, l'Afrique s'est trompée
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- Nombre de pages80
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.08 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-940583-34-8
- EAN9782940583348
- Date de parution01/08/2016
- Éditeur5 sens
Résumé
Les indépendances des pays africains n'ont pas réussi à être le symbole d'une nouvelle ère. Car, dans les années qui ont suivi, les dirigeants chargés de remplacer les colons n'ont pas été à la hauteur des attentes pesant sur eux. Leurs manières de diriger se sont caractérisées par de nombreux écarts : dictature, népotisme, corruption et détournements de fonds. Ainsi que par des incitations à la division entre membres des différentes tribus, clans, ethnies et régions.
Face à ce drame continental, les révoltes ayant fini par lasser les populations africaines, et vu les pertes humaines et l'inefficacité à long terme des soulèvements, la solution finale pour les habitants du " Berceau de l'humanité " a souvent été de se résigner à la fatalité comme si être Africain était synonyme de souffrance, de privation et d'humiliation ; ou d'émigrer vers des pays où le bien-être des citoyens est mieux considéré.
Il est vrai que la communauté internationale a sa part de responsabilités dans les problèmes de l'Afrique et des Africains. Par contre, dire qu'elle est la seule responsable de cette tragédie humaine relèverait d'une extrême malhonnêteté intellectuelle. Si, dès les indépendances des pays africains, il y avait eu au pouvoir des gens intègres et consciencieux, il n'y aurait pas autant de souffrances dans chacun des pays africains, et ainsi, bien moins d'émigrations.
Face à ce drame continental, les révoltes ayant fini par lasser les populations africaines, et vu les pertes humaines et l'inefficacité à long terme des soulèvements, la solution finale pour les habitants du " Berceau de l'humanité " a souvent été de se résigner à la fatalité comme si être Africain était synonyme de souffrance, de privation et d'humiliation ; ou d'émigrer vers des pays où le bien-être des citoyens est mieux considéré.
Il est vrai que la communauté internationale a sa part de responsabilités dans les problèmes de l'Afrique et des Africains. Par contre, dire qu'elle est la seule responsable de cette tragédie humaine relèverait d'une extrême malhonnêteté intellectuelle. Si, dès les indépendances des pays africains, il y avait eu au pouvoir des gens intègres et consciencieux, il n'y aurait pas autant de souffrances dans chacun des pays africains, et ainsi, bien moins d'émigrations.
Les indépendances des pays africains n'ont pas réussi à être le symbole d'une nouvelle ère. Car, dans les années qui ont suivi, les dirigeants chargés de remplacer les colons n'ont pas été à la hauteur des attentes pesant sur eux. Leurs manières de diriger se sont caractérisées par de nombreux écarts : dictature, népotisme, corruption et détournements de fonds. Ainsi que par des incitations à la division entre membres des différentes tribus, clans, ethnies et régions.
Face à ce drame continental, les révoltes ayant fini par lasser les populations africaines, et vu les pertes humaines et l'inefficacité à long terme des soulèvements, la solution finale pour les habitants du " Berceau de l'humanité " a souvent été de se résigner à la fatalité comme si être Africain était synonyme de souffrance, de privation et d'humiliation ; ou d'émigrer vers des pays où le bien-être des citoyens est mieux considéré.
Il est vrai que la communauté internationale a sa part de responsabilités dans les problèmes de l'Afrique et des Africains. Par contre, dire qu'elle est la seule responsable de cette tragédie humaine relèverait d'une extrême malhonnêteté intellectuelle. Si, dès les indépendances des pays africains, il y avait eu au pouvoir des gens intègres et consciencieux, il n'y aurait pas autant de souffrances dans chacun des pays africains, et ainsi, bien moins d'émigrations.
Face à ce drame continental, les révoltes ayant fini par lasser les populations africaines, et vu les pertes humaines et l'inefficacité à long terme des soulèvements, la solution finale pour les habitants du " Berceau de l'humanité " a souvent été de se résigner à la fatalité comme si être Africain était synonyme de souffrance, de privation et d'humiliation ; ou d'émigrer vers des pays où le bien-être des citoyens est mieux considéré.
Il est vrai que la communauté internationale a sa part de responsabilités dans les problèmes de l'Afrique et des Africains. Par contre, dire qu'elle est la seule responsable de cette tragédie humaine relèverait d'une extrême malhonnêteté intellectuelle. Si, dès les indépendances des pays africains, il y avait eu au pouvoir des gens intègres et consciencieux, il n'y aurait pas autant de souffrances dans chacun des pays africains, et ainsi, bien moins d'émigrations.