Déontologie médicale et droit

Par : Emmanuel Terrier

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages527
  • PrésentationBroché
  • Poids0.685 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN2-84874-002-7
  • EAN9782848740027
  • Date de parution01/12/2003
  • CollectionThèses
  • ÉditeurLEH édition

Résumé

Le mouvement "bioéthique ", né aux États-Unis dans les années 1960, a connu une fortune remarquable au point d'être devenu quasiment une science à part entière, et dans l'esprit de beaucoup une des manifestations réussies de la conciliation du progrès et du respect dû à l'homme. Des différentes conceptions de la bioéthique qui se sont fait jour, de même que dans les dispositions législatives prises en son nom, une conception, que l'on peut appeler " autonomiste ", a pris le dessus. Cette conception est porteuse d'un grand nombre d'ambiguïtés, au point que l'on peut légitimement douter des deux caractéristiques qui lui ont assuré une renommée mondiale : la bioéthique autonome peut-elle réellement se prétendre une " éthique " ? Cette même bioéthique peut-elle à raison prétendre qu'elle est respectueuse de la dignité humaine ?
Le mouvement "bioéthique ", né aux États-Unis dans les années 1960, a connu une fortune remarquable au point d'être devenu quasiment une science à part entière, et dans l'esprit de beaucoup une des manifestations réussies de la conciliation du progrès et du respect dû à l'homme. Des différentes conceptions de la bioéthique qui se sont fait jour, de même que dans les dispositions législatives prises en son nom, une conception, que l'on peut appeler " autonomiste ", a pris le dessus. Cette conception est porteuse d'un grand nombre d'ambiguïtés, au point que l'on peut légitimement douter des deux caractéristiques qui lui ont assuré une renommée mondiale : la bioéthique autonome peut-elle réellement se prétendre une " éthique " ? Cette même bioéthique peut-elle à raison prétendre qu'elle est respectueuse de la dignité humaine ?