Installée dans sa vie pour des années, Marie Robin-Bourdon raconte son parcours avec cette hôte si accablante qu’est la douleur chronique. Qu’on la subisse ou qu’elle assaille un proche, ces chapitres , épauleront le lecteur pour la porter jusqu’à son abolition.
Quand elle survient dans une existence, la douleur ne se contente pas de laisser des stigmates corporels, elle grignote le quotidien et s’immisce dans chaque recoin de la vie.
Marie Robin-Bourdon se souvient du moment où elle est entrée en elle pour devenir la compagne intime, incessante, obsédante et épuisante pendant
de trop nombreuses années.
Il ne s’agit pas ici de nous raconter par le menu une histoire de vie médicale, ou même de tenir le journal de l’ordinaire incrusté par cette plaie invisible et sournoise.
Dans un style indirect visant à maintenir l’importune à distance, l’auteur parle d’elle sans jamais la personnifier. C’est une longue marche qui part de l’insupportable pour aller à tâtons vers l’endurable et enfin espérer « l’harmonie » dans le dernier chapitre.
Marie Robin-Bourdon montre combien cette ennemie se faufile et interfère sur ses relations familiales, anéantit ses aspirations professionnelles, la met « entre parenthèses » des liens sociaux. Cependant, jamais totalement anéantie, elle ne refuse pas les opportunités thérapeutiques encore non essayées et finit par y trouver le mieux tant espéré.
Quand enfin la libération survient, le désir se retrouve, le soulagement qui éclaire la vie différemment et fait enfin revoir le monde comme si elle débarquait enfin sur la rive opposée après une navigation dans des eaux démontées.
Marie Robin-Bourdon marche vers la sérénité, parce qu’elle sait le prix qu’elle lui a couté.
Pour terminer cet opus, l’auteure donne des pistes pour aller plus loin et mieux connaître les particularités de cette forme de névralgie. Des informations qui feront gagner du temps à des personnes atteintes des mêmes troubles dont le diagnostic traîne à être posé.
LEÇONS DE DOULEUR
Installée dans sa vie pour des années, Marie Robin-Bourdon raconte son parcours avec cette hôte si accablante qu’est la douleur chronique. Qu’on la subisse ou qu’elle assaille un proche, ces chapitres , épauleront le lecteur pour la porter jusqu’à son abolition.
Quand elle survient dans une existence, la douleur ne se contente pas de laisser des stigmates corporels, elle grignote le quotidien et s’immisce dans chaque recoin de la vie.
Marie Robin-Bourdon se souvient du moment où elle est entrée en elle pour devenir la compagne intime, incessante, obsédante et épuisante pendant de trop nombreuses années.
Il ne s’agit pas ici de nous raconter par le menu une histoire de vie médicale, ou même de tenir le journal de l’ordinaire incrusté par cette plaie invisible et sournoise.
Dans un style indirect visant à maintenir l’importune à distance, l’auteur parle d’elle sans jamais la personnifier. C’est une longue marche qui part de l’insupportable pour aller à tâtons vers l’endurable et enfin espérer « l’harmonie » dans le dernier chapitre.
Marie Robin-Bourdon montre combien cette ennemie se faufile et interfère sur ses relations familiales, anéantit ses aspirations professionnelles, la met « entre parenthèses » des liens sociaux. Cependant, jamais totalement anéantie, elle ne refuse pas les opportunités thérapeutiques encore non essayées et finit par y trouver le mieux tant espéré.
Quand enfin la libération survient, le désir se retrouve, le soulagement qui éclaire la vie différemment et fait enfin revoir le monde comme si elle débarquait enfin sur la rive opposée après une navigation dans des eaux démontées.
Marie Robin-Bourdon marche vers la sérénité, parce qu’elle sait le prix qu’elle lui a couté.
Pour terminer cet opus, l’auteure donne des pistes pour aller plus loin et mieux connaître les particularités de cette forme de névralgie. Des informations qui feront gagner du temps à des personnes atteintes des mêmes troubles dont le diagnostic traîne à être posé.