Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Delphine Gay de Girardin (1804-1855), blonde figure du romantisme - on l'appela la dixième muse - fut l'amour de jeunesse de Vigny et l'amie intime des...
Lire la suite
22,50 €
Neuf
Actuellement indisponible
Résumé
Delphine Gay de Girardin (1804-1855), blonde figure du romantisme - on l'appela la dixième muse - fut l'amour de jeunesse de Vigny et l'amie intime des plus grands noms de la littérature : Lamartine, Hugo, Balzac, Gautier... Devenue l'épouse du " Napoléon de la presse ", Emile de Girardin, elle fit de son salon l'un des plus brillants et des plus influents de Paris. Poussée par sa mère, la célèbre Sophie Gay qui régna sur les salons du Directoire, elle aborda la littérature sous tous ses angles : poésie, romans, pièces de théâtre. Mais la postérité a surtout retenu la pionnière du journalisme d'humeur. Pendant plus de dix ans, signant " vicomte de Launay ", Mme de Girardin a donné dans La Presse des " Courriers de Paris " qui sont des chefs-d'œuvre d'observation, de style et d'esprit. Elle y traite sans préjugés - et souvent avec humour - de la vie politique, sociale et artistique de son temps. Ouverte à toutes les expériences, elle introduisit en France la mode des tables tournantes et devint après sa mort une " personnalité spirite ". Cette biographie, très documentée, retrace la portrait d'une femme de cœur et d'esprit aussi célèbre au XIXe siècle que George Sand, mais injustement éclipsée par la notoriété de son mari, l'un des promoteurs de la loi de 1881 sur la liberté de la presse.
Madeleine Lassère, historienne, a publié deux biographies romancées : Moi, Eugénie de Coucy, maréchale Oudinot (Perrin, 2000, prix Claude-Farrère 2002) et Moreau ou la gloire perdue (L'Harmattan, 2002).