Car la parenthèse qui ferme toujours le monde, ou se ferme sur lui, est celle des mots, ce recueil est dicté par un désir de retour à la chose même. Il promène un regard intérieur et extérieur sur ce qui fait événement. Déjà dit une surprise face à une présence qui précède toujours le regard. Ce déjà-là du monde active et rend disponible une rêverie dont voici un effort.
Car la parenthèse qui ferme toujours le monde, ou se ferme sur lui, est celle des mots, ce recueil est dicté par un désir de retour à la chose même. Il promène un regard intérieur et extérieur sur ce qui fait événement. Déjà dit une surprise face à une présence qui précède toujours le regard. Ce déjà-là du monde active et rend disponible une rêverie dont voici un effort.