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Scénario et intrigue : La « degenerate housewive » n'est pas une espèce en voie de disparition. C'est votre voisine de palier, ou la ménagère en tablier qui habite le pavillon d'à côté celui de vos parents. Cette femme, presqu'invisible dans ses habitudes du quotidien, est en réalité une sacrée chaudasse. Dans notre cas, la degenerate housewive s'appelle Catherine Mitchell et c'est son odyssée rocambolesque, et résolument sadique, qui nous est conté.
La série de Rebecca est une parodie porno de romans sentimentaux et de séries TV féminines, où les héroïnes se gouinent à tour de doigts, avec des godes de dimensions colossales.
Elle est aussi, dans une certaine mesure, un récit d'apprentissage.
Résumé du volume 4 : Catherine a décidé de rester auprès de sa sœur, Lynn, à Seattle pour l'aider dans ses tâches « ménagères ». Et pour goûter à nouveau au plaisir d'être avec sa fille Melissa, qu'elle n'avait pas vue depuis des années. Un jour, le trio va faire du lèche-vitrine et s'arrête dans un magasin de lingerie féminine. Mauvaise pioche : elles sont kidnappées et soumises aux fantasmes érotiques de la diabolique Bratty Sneers (avatar SM de Britney Spears) et de ses deux copines chanteuses, Fate et Kandy.
Tout va ensuite de mal en pis…
Sur la série : Succès aux États-Unis, la série des Degenerate Housewives adopte en France le format comic book original. Publiée à partir de 1999 chez Eros Comix, Degenerate Housewives (Housewives At Play dans la langue de Shakespeare) a donné lieu à deux séries parallèles (Hot Moms, Teens At Play) et à des dizaines de art-books célébrant la sexualité de la ménagère de plus de trente ans.
Ce quatrième volume réunit les fascicules 8 et 9 de la série : "Buy one, get two free !" ("Une achetée, deux offertes !"), et "Spoiled brat" ("Enfant gâté").
