Défis technologiques, principe de précaution et démocratie technique

Par : Tchakie Thomas Sékpona-Médjago

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  • Nombre de pages212
  • PrésentationBroché
  • Poids0.325 kg
  • Dimensions15,3 cm × 22,8 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-89578-238-4
  • EAN9782895782384
  • Date de parution01/07/2010
  • ÉditeurLiber (Editions)

Résumé

L'histoire récente de l'humanité est riche en catastrophes technologiques majeures (Seveso, Bhopal, Tchernobyl, sang contaminé, maladie de la vache folle...). Cet ouvrage aborde les situations d'incertitude que laisse présager pour l'avenir notre soif inapaisable de technologie et explore les moyens de mieux les encadrer. Il en examine notamment le plus célèbre, le principe responsabilité (Hans Jonas), souligne ses forces et ses faiblesses et l'importance de ne pas confier sa mise en application qu'aux seuls experts et politiques, mais aussi à la société civile.
Qu'est-ce que le progrès ? Pourquoi en appelle-t-on aujourd'hui à la précaution et à la responsabilité ? Quelle est la philosophie du principe de précaution ? Peut-on le distinguer du vieux principe de prévention, de prudence ? A qui revient le devoir de traduire dans les faits le principe de précaution ou le principe responsabilité ? Aux élus et aux savants seulement ? Ou aux élus, aux savants et aux citoyens ? Voilà des questions qui constituent le fil d'Ariane de notre réflexion.
Celle-ci entend démontrer que le principe responsabilité est le principe de précaution avant la lettre et que sa mise en oeuvre pratique doit se faire dans un espace commun de débat citoyen. Lorsque la situation d'incertitude est suspectée ou constatée, il y a nécessité d'entrer en responsabilité ou en précaution, c'est-à-dire en action dans l'espace citoyen de débats publics qui doit rassembler sans exclusive aussi bien les élus et les savants que les citoyens profanes.
L'histoire récente de l'humanité est riche en catastrophes technologiques majeures (Seveso, Bhopal, Tchernobyl, sang contaminé, maladie de la vache folle...). Cet ouvrage aborde les situations d'incertitude que laisse présager pour l'avenir notre soif inapaisable de technologie et explore les moyens de mieux les encadrer. Il en examine notamment le plus célèbre, le principe responsabilité (Hans Jonas), souligne ses forces et ses faiblesses et l'importance de ne pas confier sa mise en application qu'aux seuls experts et politiques, mais aussi à la société civile.
Qu'est-ce que le progrès ? Pourquoi en appelle-t-on aujourd'hui à la précaution et à la responsabilité ? Quelle est la philosophie du principe de précaution ? Peut-on le distinguer du vieux principe de prévention, de prudence ? A qui revient le devoir de traduire dans les faits le principe de précaution ou le principe responsabilité ? Aux élus et aux savants seulement ? Ou aux élus, aux savants et aux citoyens ? Voilà des questions qui constituent le fil d'Ariane de notre réflexion.
Celle-ci entend démontrer que le principe responsabilité est le principe de précaution avant la lettre et que sa mise en oeuvre pratique doit se faire dans un espace commun de débat citoyen. Lorsque la situation d'incertitude est suspectée ou constatée, il y a nécessité d'entrer en responsabilité ou en précaution, c'est-à-dire en action dans l'espace citoyen de débats publics qui doit rassembler sans exclusive aussi bien les élus et les savants que les citoyens profanes.