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- Nombre de pages93
- PrésentationBroché
- Poids0.135 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN2-905372-70-2
- EAN9782905372703
- Date de parution01/11/1992
- CollectionTiré à part
- ÉditeurEditions de l'Eclat
Résumé
Dans un long entretien accordé à Christian Bouchindhomme, Hilary Putnam évoque son itinéraire philosophique et commente les différents courants de la philosophie contemporaine.
Cet entretien est précédé d'un bref article qui est au cœur des questions que Hilary Putnam n'a cessé de poser, depuis Raison, vérité et histoire, au réalisme métaphysique et au naturalisme philosophique. Souvent cité, " Pourquoi ne peut-on pas naturaliser la raison " prolonge les discussions auxquelles l'épistémologie naturalisée de Quine a primitivement donné lieu dans la philosophie américaine des dernières décennies. Les positions qui sont désormais celles de Putnam y trouvent un utile éclairage : entre les facilités que nous procure le " point de vue de Dieu " et les impasses auxquelles nous accule le relativisme culturel, la philosophie doit se frayer une troisième voie. Cet article précis relève à ce titre d'un effort de définition et d'éclaircissement auquel le philosophe, moins que quiconque, ne peut se soustraire.
Dans un long entretien accordé à Christian Bouchindhomme, Hilary Putnam évoque son itinéraire philosophique et commente les différents courants de la philosophie contemporaine.
Cet entretien est précédé d'un bref article qui est au cœur des questions que Hilary Putnam n'a cessé de poser, depuis Raison, vérité et histoire, au réalisme métaphysique et au naturalisme philosophique. Souvent cité, " Pourquoi ne peut-on pas naturaliser la raison " prolonge les discussions auxquelles l'épistémologie naturalisée de Quine a primitivement donné lieu dans la philosophie américaine des dernières décennies. Les positions qui sont désormais celles de Putnam y trouvent un utile éclairage : entre les facilités que nous procure le " point de vue de Dieu " et les impasses auxquelles nous accule le relativisme culturel, la philosophie doit se frayer une troisième voie. Cet article précis relève à ce titre d'un effort de définition et d'éclaircissement auquel le philosophe, moins que quiconque, ne peut se soustraire.