Déficits publics. La démocratie en danger
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- Nombre de pages235
- PrésentationBroché
- Poids0.37 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-200-28754-2
- EAN9782200287542
- Date de parution16/10/2013
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Chaque enfant naît, en France, surendetté ! Alors que sa vie commence à peine, il doit déjà près de 20 000 euros à la société. Un constat brutal, mais bien réel tant les générations précédentes ont usé et abusé des finances publiques. Désormais, la dette menace notre démocratie, car celui qui ne peut plus honorer sa dette perd la liberté de disposer de lui-même. Un tel bilan peut sembler excessif, mais lorsqu'il émane d'Alain Lambert, inspirateur de l'une des plus ambitieuses réformes budgétaires, il mérite que l'on s'y attarde.
Comment en est-on arrivé là ? A qui la faute ? A la droite, à la gauche ? Aux politiciens ou aux administrations ? Aux cadeaux fiscaux où à l'excès de dépenses ? L'auteur nous livre ses réponses sans concession et dévoile, au passage, une gouvernance kafkaïenne de la France. Il montre aussi que des remèdes existent. Certains sont sous nos yeux. D'autres restent à inventer et Alain Lambert ne s'en prive pas.
Il ose des propositions concrètes, parfois murmurées, mais jamais exprimées au grand jour de peur de trop irriter (responsabilité des ministres, des hauts fonctionnaires, organisation administrative...). Ceux qui croient dans la nécessité des réformes se régaleront. Pour les autres, mieux vaut s'abstenir.
Comment en est-on arrivé là ? A qui la faute ? A la droite, à la gauche ? Aux politiciens ou aux administrations ? Aux cadeaux fiscaux où à l'excès de dépenses ? L'auteur nous livre ses réponses sans concession et dévoile, au passage, une gouvernance kafkaïenne de la France. Il montre aussi que des remèdes existent. Certains sont sous nos yeux. D'autres restent à inventer et Alain Lambert ne s'en prive pas.
Il ose des propositions concrètes, parfois murmurées, mais jamais exprimées au grand jour de peur de trop irriter (responsabilité des ministres, des hauts fonctionnaires, organisation administrative...). Ceux qui croient dans la nécessité des réformes se régaleront. Pour les autres, mieux vaut s'abstenir.
Chaque enfant naît, en France, surendetté ! Alors que sa vie commence à peine, il doit déjà près de 20 000 euros à la société. Un constat brutal, mais bien réel tant les générations précédentes ont usé et abusé des finances publiques. Désormais, la dette menace notre démocratie, car celui qui ne peut plus honorer sa dette perd la liberté de disposer de lui-même. Un tel bilan peut sembler excessif, mais lorsqu'il émane d'Alain Lambert, inspirateur de l'une des plus ambitieuses réformes budgétaires, il mérite que l'on s'y attarde.
Comment en est-on arrivé là ? A qui la faute ? A la droite, à la gauche ? Aux politiciens ou aux administrations ? Aux cadeaux fiscaux où à l'excès de dépenses ? L'auteur nous livre ses réponses sans concession et dévoile, au passage, une gouvernance kafkaïenne de la France. Il montre aussi que des remèdes existent. Certains sont sous nos yeux. D'autres restent à inventer et Alain Lambert ne s'en prive pas.
Il ose des propositions concrètes, parfois murmurées, mais jamais exprimées au grand jour de peur de trop irriter (responsabilité des ministres, des hauts fonctionnaires, organisation administrative...). Ceux qui croient dans la nécessité des réformes se régaleront. Pour les autres, mieux vaut s'abstenir.
Comment en est-on arrivé là ? A qui la faute ? A la droite, à la gauche ? Aux politiciens ou aux administrations ? Aux cadeaux fiscaux où à l'excès de dépenses ? L'auteur nous livre ses réponses sans concession et dévoile, au passage, une gouvernance kafkaïenne de la France. Il montre aussi que des remèdes existent. Certains sont sous nos yeux. D'autres restent à inventer et Alain Lambert ne s'en prive pas.
Il ose des propositions concrètes, parfois murmurées, mais jamais exprimées au grand jour de peur de trop irriter (responsabilité des ministres, des hauts fonctionnaires, organisation administrative...). Ceux qui croient dans la nécessité des réformes se régaleront. Pour les autres, mieux vaut s'abstenir.