Défense du pain et du vin

Par : Benoît Sibille
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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.1 kg
  • Dimensions11,5 cm × 18,5 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-37298-140-8
  • EAN9782372981408
  • Date de parution26/02/2025
  • ÉditeurAd Solem

Résumé

"Ainsi donc, quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement aura à répondre du corps et du sang du Seigneur" (1 Co 11, 27). Partant de cette parole biblique, l'auteur de ce livre travaillé, court et essentiel, nous met devant une réalité criante et bouleversante : nous, Chrétiens, communions à un pain fait de blé cultivé dans une terre morte, perfusée aux engrais de synthèse et aux pesticides, sur d'immenses monocultures où les oiseaux ne s'aventurent plus.
Nous communions à un vin produit à partir d'un raisin saturé d'intrants chimiques, souvent cultivé par une main d'oeuvre étrangère exploitée. Nous célébrons l'eucharistie avec ce pain et ce vin-là, nous proclamons qu'ils sont la vraie nourriture et la vraie boisson (Jn 6, 55) et pourtant ils sont, au sens propre en tout cas, un pain et un vin de mort. Dans une visée proprement éco-logique, éclairée par la lumière de François d'Assise, cette réflexion construite par un philosophe, poète et théologien nous oblige à reconsidérer le témoignage rendu au Royaume inauguré par Jésus et proclamé par l'Eglise.
Avec un sens critique et une volonté de cohérence.
"Ainsi donc, quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement aura à répondre du corps et du sang du Seigneur" (1 Co 11, 27). Partant de cette parole biblique, l'auteur de ce livre travaillé, court et essentiel, nous met devant une réalité criante et bouleversante : nous, Chrétiens, communions à un pain fait de blé cultivé dans une terre morte, perfusée aux engrais de synthèse et aux pesticides, sur d'immenses monocultures où les oiseaux ne s'aventurent plus.
Nous communions à un vin produit à partir d'un raisin saturé d'intrants chimiques, souvent cultivé par une main d'oeuvre étrangère exploitée. Nous célébrons l'eucharistie avec ce pain et ce vin-là, nous proclamons qu'ils sont la vraie nourriture et la vraie boisson (Jn 6, 55) et pourtant ils sont, au sens propre en tout cas, un pain et un vin de mort. Dans une visée proprement éco-logique, éclairée par la lumière de François d'Assise, cette réflexion construite par un philosophe, poète et théologien nous oblige à reconsidérer le témoignage rendu au Royaume inauguré par Jésus et proclamé par l'Eglise.
Avec un sens critique et une volonté de cohérence.