Décolonisation du Viêt Nam, un avocat témoigne. Me Trinh Dinh Thao...
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- Poids0.26 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7384-2368-X
- EAN9782738423689
- Date de parution01/01/1994
- Collectionmémoires asiatiques
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Août 1945, le premier Gouvernement de Bao Dai lance un message au général de Gaulle, Chef de l'Etat français pour la reconnaissance de la nouvelle indépendance du Viét Nam. Mars 1946, Ho Chi Minh signe un accord avec Sainteny à Hanoi garantissant l'Etat libre du Viét Nam dans le cadre de la Fédération indochinoise et de l'Union française. Cependant l'engrenage des événements conduit à la guerre franco-vietnamienne qui dure jusqu'en juillet 1954, date de la signature des Accords de Genève consacrant la partition du met Nam.
Le rejet des élections générales prévues pour le mois de juillet 1956 par Ngo Dinh Diem, Président du Sud-Viet Nam, sur les conseils des Etats-Unis, entraîne la guerre americano-vietnamienne qui, malgré les Accords de Paris en janvier 1973 sur les conditions de cessation des hostilités, ne prend fin qu'en mai 1975 parla chute de Saigon. Maître Trinh Dinh Thao consacre, des la période coloniale, sa vie de militant nationaliste à la défense des révolutionnaires vietnamiens.
Emprisonné à plusieurs reprises, tracassé et menacé, il rejoint le maquis. Devenu président de l'Alliance des Forces nationales de la Démocratie et de la Paix, il monte à Hanoi par la piste Ho-Chi-Minh, est envoyé pour diverses missions diplomatiques à l'étranger et revient à Saigon en 1975 après la prise de pouvoir par les communistes. Jusqu'à sa mort en 1986, il vit en semi-retraite comme député à l'Assemblée nationale, quelque peu amer de la réunification hâtive du Viét Nam, d'une marche forcée vers le collectivisme dramatique pour la population du Sud, toutes choses qui vont à l'encontre de l'idéal sous lequel il a placé sa vie.
Le rejet des élections générales prévues pour le mois de juillet 1956 par Ngo Dinh Diem, Président du Sud-Viet Nam, sur les conseils des Etats-Unis, entraîne la guerre americano-vietnamienne qui, malgré les Accords de Paris en janvier 1973 sur les conditions de cessation des hostilités, ne prend fin qu'en mai 1975 parla chute de Saigon. Maître Trinh Dinh Thao consacre, des la période coloniale, sa vie de militant nationaliste à la défense des révolutionnaires vietnamiens.
Emprisonné à plusieurs reprises, tracassé et menacé, il rejoint le maquis. Devenu président de l'Alliance des Forces nationales de la Démocratie et de la Paix, il monte à Hanoi par la piste Ho-Chi-Minh, est envoyé pour diverses missions diplomatiques à l'étranger et revient à Saigon en 1975 après la prise de pouvoir par les communistes. Jusqu'à sa mort en 1986, il vit en semi-retraite comme député à l'Assemblée nationale, quelque peu amer de la réunification hâtive du Viét Nam, d'une marche forcée vers le collectivisme dramatique pour la population du Sud, toutes choses qui vont à l'encontre de l'idéal sous lequel il a placé sa vie.
Août 1945, le premier Gouvernement de Bao Dai lance un message au général de Gaulle, Chef de l'Etat français pour la reconnaissance de la nouvelle indépendance du Viét Nam. Mars 1946, Ho Chi Minh signe un accord avec Sainteny à Hanoi garantissant l'Etat libre du Viét Nam dans le cadre de la Fédération indochinoise et de l'Union française. Cependant l'engrenage des événements conduit à la guerre franco-vietnamienne qui dure jusqu'en juillet 1954, date de la signature des Accords de Genève consacrant la partition du met Nam.
Le rejet des élections générales prévues pour le mois de juillet 1956 par Ngo Dinh Diem, Président du Sud-Viet Nam, sur les conseils des Etats-Unis, entraîne la guerre americano-vietnamienne qui, malgré les Accords de Paris en janvier 1973 sur les conditions de cessation des hostilités, ne prend fin qu'en mai 1975 parla chute de Saigon. Maître Trinh Dinh Thao consacre, des la période coloniale, sa vie de militant nationaliste à la défense des révolutionnaires vietnamiens.
Emprisonné à plusieurs reprises, tracassé et menacé, il rejoint le maquis. Devenu président de l'Alliance des Forces nationales de la Démocratie et de la Paix, il monte à Hanoi par la piste Ho-Chi-Minh, est envoyé pour diverses missions diplomatiques à l'étranger et revient à Saigon en 1975 après la prise de pouvoir par les communistes. Jusqu'à sa mort en 1986, il vit en semi-retraite comme député à l'Assemblée nationale, quelque peu amer de la réunification hâtive du Viét Nam, d'une marche forcée vers le collectivisme dramatique pour la population du Sud, toutes choses qui vont à l'encontre de l'idéal sous lequel il a placé sa vie.
Le rejet des élections générales prévues pour le mois de juillet 1956 par Ngo Dinh Diem, Président du Sud-Viet Nam, sur les conseils des Etats-Unis, entraîne la guerre americano-vietnamienne qui, malgré les Accords de Paris en janvier 1973 sur les conditions de cessation des hostilités, ne prend fin qu'en mai 1975 parla chute de Saigon. Maître Trinh Dinh Thao consacre, des la période coloniale, sa vie de militant nationaliste à la défense des révolutionnaires vietnamiens.
Emprisonné à plusieurs reprises, tracassé et menacé, il rejoint le maquis. Devenu président de l'Alliance des Forces nationales de la Démocratie et de la Paix, il monte à Hanoi par la piste Ho-Chi-Minh, est envoyé pour diverses missions diplomatiques à l'étranger et revient à Saigon en 1975 après la prise de pouvoir par les communistes. Jusqu'à sa mort en 1986, il vit en semi-retraite comme député à l'Assemblée nationale, quelque peu amer de la réunification hâtive du Viét Nam, d'une marche forcée vers le collectivisme dramatique pour la population du Sud, toutes choses qui vont à l'encontre de l'idéal sous lequel il a placé sa vie.