
Décadanse. De l'Homo oeconomicus à l'Homo eroticus
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- Nombre de pages528
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.72 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,8 cm
- ISBN978-2-226-43519-4
- EAN9782226435194
- Date de parution12/04/2023
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Une nouvelle religion s'impose : l'hédonisme, soit le culte de l'ego qui impose une nouvelle échelle de valeurs, de nouveaux comportements, et remet en cause rien moins que des siècles de morale chrétienne puis laïque. La crise de la reproduction de la vie s'accompagne d'une crise de la reproduction des grands systèmes qui lui donnaient un sens. Et si les grandes lois soi-disant émancipatrices n'avaient été qu'un marché de dupes marquant à la fois l'abolition du patriarcat et le triomphe de la phallocratie ? La révolte individualiste au nom de l'hédonisme aboutit à un monde délié, où les liaisons protectrices n'existent plus, où la prise en charge de la société par l'Etat va de pair avec la marchandisation des solidarités naturelles.
Après La Fin d'un monde, Patrick Buisson poursuit son oeuvre de déconstruction de la modernité et montre en quoi les peuples ont été trahis par les élites au nom d'une illusoire libération des moeurs.
Une nouvelle religion s'impose : l'hédonisme, soit le culte de l'ego qui impose une nouvelle échelle de valeurs, de nouveaux comportements, et remet en cause rien moins que des siècles de morale chrétienne puis laïque. La crise de la reproduction de la vie s'accompagne d'une crise de la reproduction des grands systèmes qui lui donnaient un sens. Et si les grandes lois soi-disant émancipatrices n'avaient été qu'un marché de dupes marquant à la fois l'abolition du patriarcat et le triomphe de la phallocratie ? La révolte individualiste au nom de l'hédonisme aboutit à un monde délié, où les liaisons protectrices n'existent plus, où la prise en charge de la société par l'Etat va de pair avec la marchandisation des solidarités naturelles.
Après La Fin d'un monde, Patrick Buisson poursuit son oeuvre de déconstruction de la modernité et montre en quoi les peuples ont été trahis par les élites au nom d'une illusoire libération des moeurs.