Dead-end dust
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.285 kg
- Dimensions16,8 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-87340-440-6
- EAN9782873404406
- Date de parution15/02/2019
- CollectionCôté photo / Angles vifs
- ÉditeurYellow Now
Résumé
Cet ouvrage a été conçu comme le prolongement et en même temps le remaniement des séries "Sans issue" et "Polvere" , faites de Polaroïds tantôt bruts, tantôt trafiqués (avec aussi quelques emprunts aux paysages plus anciens et méditatifs de la série "Ultima"). Dead End Dust, c'est une errance sombre en mots et en images, à travers un monde parfois attirant, souvent inhospitalier, qui se balance au-dessus du chaos - pré- ou post-apocalyptique, qui sait encore ? Une recherche parfois inquiète, parfois sensuelle, qui se garde de donner trop de réponses, préférant pénétrer lentement pour mieux infuser.
On y trouve une certaine tendresse pour le ravagé, un peu de défiance pour ce qui tient encore debout, une miette d'espoir dans le sauvage et dans sa poésie : partir en quête de ce qui s'agite encore, bien que d'une étrange façon. La photographe saisit, écrit, ausculte, manipule. Dégagé du quotidien et des heures, souvent clôturé par des ombres, auscultant sans relâche la nature humaine et la vibration du monde, son travail cherche à rendre compte de la beauté compromise de ce qui se prétendait éternel - et à questionner les masques de la séduction
On y trouve une certaine tendresse pour le ravagé, un peu de défiance pour ce qui tient encore debout, une miette d'espoir dans le sauvage et dans sa poésie : partir en quête de ce qui s'agite encore, bien que d'une étrange façon. La photographe saisit, écrit, ausculte, manipule. Dégagé du quotidien et des heures, souvent clôturé par des ombres, auscultant sans relâche la nature humaine et la vibration du monde, son travail cherche à rendre compte de la beauté compromise de ce qui se prétendait éternel - et à questionner les masques de la séduction
Cet ouvrage a été conçu comme le prolongement et en même temps le remaniement des séries "Sans issue" et "Polvere" , faites de Polaroïds tantôt bruts, tantôt trafiqués (avec aussi quelques emprunts aux paysages plus anciens et méditatifs de la série "Ultima"). Dead End Dust, c'est une errance sombre en mots et en images, à travers un monde parfois attirant, souvent inhospitalier, qui se balance au-dessus du chaos - pré- ou post-apocalyptique, qui sait encore ? Une recherche parfois inquiète, parfois sensuelle, qui se garde de donner trop de réponses, préférant pénétrer lentement pour mieux infuser.
On y trouve une certaine tendresse pour le ravagé, un peu de défiance pour ce qui tient encore debout, une miette d'espoir dans le sauvage et dans sa poésie : partir en quête de ce qui s'agite encore, bien que d'une étrange façon. La photographe saisit, écrit, ausculte, manipule. Dégagé du quotidien et des heures, souvent clôturé par des ombres, auscultant sans relâche la nature humaine et la vibration du monde, son travail cherche à rendre compte de la beauté compromise de ce qui se prétendait éternel - et à questionner les masques de la séduction
On y trouve une certaine tendresse pour le ravagé, un peu de défiance pour ce qui tient encore debout, une miette d'espoir dans le sauvage et dans sa poésie : partir en quête de ce qui s'agite encore, bien que d'une étrange façon. La photographe saisit, écrit, ausculte, manipule. Dégagé du quotidien et des heures, souvent clôturé par des ombres, auscultant sans relâche la nature humaine et la vibration du monde, son travail cherche à rendre compte de la beauté compromise de ce qui se prétendait éternel - et à questionner les masques de la séduction