De vive voix

Par : Bernard Reymond

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  • Nombre de pages159
  • PrésentationBroché
  • Poids0.215 kg
  • Dimensions14,8 cm × 22,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN2-8309-0893-7
  • EAN9782830908930
  • Date de parution10/06/1998
  • CollectionPratiques
  • ÉditeurLabor et Fides

Résumé

Le contexte culturel dans lequel les Eglises s'inscrivent aujourd'hui impose une évolution dans la manière d'annoncer l'Evangile. Pour Bernard Reymond, il est nécessaire de remettre en avant l'oralité, après trois siècles de théologies et de prédications trop exclusivement appuyées sur l'écriture "seule". La tournure de cet essai se ressent des propositions de Bernard Reymond. Le ton est vif, la démonstration percutante et l'encouragement à l'"oraliture" -terme repris de l'écrivain créole Patrick Chamoiseau pour qualifier tout ce qui ne relève pas de la littérature écrite s'appuie sur l'expérience et les anecdotes d'un auteur qui a consacré une grande partie de sa vie à étudier les problèmes de la transmission de la Parole. Pour autant, l'auteur ne sacrifie pas le texte écrit, tout au plus le remet-il à sa place légitime, inspiratrice sans être envahissante. Il aborde dans sa démonstration un certain nombre de points importants pour un bon fonctionnement de l'oralité: les attitudes, les lieux d'expression, les silences, etc... Pour Bernard Reymond, la prédication "dominicale" reste la matrice de la communication de l'Evangile. Elle peut, tout naturellement, s'exporter dans les nouvelles formes de communication, audiovisuelles ou autres, à condition qu'elle réussisse à perdre les lourdeurs formelles de l'écrit au stade de l'oralité. Cet essai n'est donc pas un brûlot contre l'Eglise, mais une contribution rafraîchissante à la réforme indispensable du culte et... de la messe.
Le contexte culturel dans lequel les Eglises s'inscrivent aujourd'hui impose une évolution dans la manière d'annoncer l'Evangile. Pour Bernard Reymond, il est nécessaire de remettre en avant l'oralité, après trois siècles de théologies et de prédications trop exclusivement appuyées sur l'écriture "seule". La tournure de cet essai se ressent des propositions de Bernard Reymond. Le ton est vif, la démonstration percutante et l'encouragement à l'"oraliture" -terme repris de l'écrivain créole Patrick Chamoiseau pour qualifier tout ce qui ne relève pas de la littérature écrite s'appuie sur l'expérience et les anecdotes d'un auteur qui a consacré une grande partie de sa vie à étudier les problèmes de la transmission de la Parole. Pour autant, l'auteur ne sacrifie pas le texte écrit, tout au plus le remet-il à sa place légitime, inspiratrice sans être envahissante. Il aborde dans sa démonstration un certain nombre de points importants pour un bon fonctionnement de l'oralité: les attitudes, les lieux d'expression, les silences, etc... Pour Bernard Reymond, la prédication "dominicale" reste la matrice de la communication de l'Evangile. Elle peut, tout naturellement, s'exporter dans les nouvelles formes de communication, audiovisuelles ou autres, à condition qu'elle réussisse à perdre les lourdeurs formelles de l'écrit au stade de l'oralité. Cet essai n'est donc pas un brûlot contre l'Eglise, mais une contribution rafraîchissante à la réforme indispensable du culte et... de la messe.