Devant, loin devant, chemine Nicolas Bouvier. C'est l'hiver. Ou l'été. Il monte sur le salève ou descend vers l'orient. Peu importe. Il ne s'agit pas ici de refaire ses voyages, surtout pas de le rattraper. Mais d'écouter ce que ses mots ont à nous dire (des verdiers, vous les entendez ?), De goûter aux fruits qu'il cueillit. De se perdre dans ses pages.
Devant, loin devant, chemine Nicolas Bouvier. C'est l'hiver. Ou l'été. Il monte sur le salève ou descend vers l'orient. Peu importe. Il ne s'agit pas ici de refaire ses voyages, surtout pas de le rattraper. Mais d'écouter ce que ses mots ont à nous dire (des verdiers, vous les entendez ?), De goûter aux fruits qu'il cueillit. De se perdre dans ses pages.