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Culbutez les poèmes d'amour dans les foins de l'édition et s'il reste quelques pailles ça et là au détour d'une tournure, sachez la saisir pour boire le petit lait d'amande douce de la poésie ou celui des poèmes priapiques au goût de noisette, mais ne la brandissez pas pour cacher la poutre qu'il n'y aurait plus dans vos braies depuis que vous portez aux nues une poésie qui n'a plus ni bandits, ni pendaisons, ni bandaisons, ni saintes tripes.
Redonnez-nous de la poésie canaille pour homme de feu, pour femme de ventre, pour corps de noces et de fêtes ! Y-J B