De marie a Ouled Ahmed. Courtes histoires

Par : Mohamed Boughanemi
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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.267 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-9938-940-96-1
  • EAN9789938940961
  • Date de parution01/12/2018
  • ÉditeurNirvana

Résumé

Je me souviens quand mon ami Mohamed m'avait montré la photo de sa bien-aimée la première fois. Il n'arrêtait pas de me répéter : " Ne trouves-tu pas qu'elle est belle ? Ne trouves-tu pas qu'elle est jolie ? " Mon ami ne savait pas qu'il synthétisait Montesquieu dans ses Lettres Persanes. Ce dernier y estimait qu'en Orient, les femmes étaient plus belles que celles en France. Mais en France, elles étaient plus jolies.
Mais, après son retour de France, les gens le raillaient pour son amour, sa passion. Et cela le renvoyait douloureusement à une séparation terrible qu'il n'arrivait pas à s'expliquer, car Isabelle avait disparu du jour au lendemain, sans laisser la moindre trace. Elle qui lui avait appris le goût et le sens de la tendresse, ne pouvait pas le laisser choir. Il se demandait si elle était morte, violé ; assassinée et cela le rendait fou.
Il décida alors de se suicider lentement, comme s'il devait espérer qu'un jour Isabelle réapparaisse. C'était pour lui un suicide... d'attente.
Je me souviens quand mon ami Mohamed m'avait montré la photo de sa bien-aimée la première fois. Il n'arrêtait pas de me répéter : " Ne trouves-tu pas qu'elle est belle ? Ne trouves-tu pas qu'elle est jolie ? " Mon ami ne savait pas qu'il synthétisait Montesquieu dans ses Lettres Persanes. Ce dernier y estimait qu'en Orient, les femmes étaient plus belles que celles en France. Mais en France, elles étaient plus jolies.
Mais, après son retour de France, les gens le raillaient pour son amour, sa passion. Et cela le renvoyait douloureusement à une séparation terrible qu'il n'arrivait pas à s'expliquer, car Isabelle avait disparu du jour au lendemain, sans laisser la moindre trace. Elle qui lui avait appris le goût et le sens de la tendresse, ne pouvait pas le laisser choir. Il se demandait si elle était morte, violé ; assassinée et cela le rendait fou.
Il décida alors de se suicider lentement, comme s'il devait espérer qu'un jour Isabelle réapparaisse. C'était pour lui un suicide... d'attente.