Lili Reynaud-Dewar
Grand Format
39,95 €
De la plus-value dans l'art suivi de (Sur)production et valeur
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- Nombre de pages103
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.07 kg
- Dimensions10,5 cm × 15,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-940426-53-9
- EAN9782940426539
- Date de parution26/09/2019
- CollectionA6
- ÉditeurEntremonde
- TraducteurWolfgang Kukulies
- PréfacierVincent Chanson
Résumé
Deux courts essais du théoricien et critique allemand Diedrich Diederichsen qui abordent la question du statut de la création artistique à l'époque du capitalisme tardif. Dans une perspective post-marxienne, l'auteur se propose de revenir sur deux motifs structurant selon lui les évolutions les plus récentes de l'art contemporain : celui de "plus-value" et de "(sur)production", deux notions qui permettent de réinterroger le processus de constitution de la valeur des oeuvres d'art.
L'explosion spéculative du marché de l'art, son abstraction croissante, la montée en puissance des processus de marchandisation, l'évolution du statut de l'artiste, le développement des techniques de reproduction qui redéfinissent les contours de la notion d'oeuvre, tout ceci concourt à modifier profondément les coordonnées traditionnelles de nos représentations esthétiques. Aussi, en s'inscrivant dans le sillage des analyses développées par la Théorie critique, Diedrich Diederichsen nous propose une réflexion particulièrement stimulante et décapante sur la scène artistique contemporaine.
Une réflexion qui prendrait en quelque sorte acte d'une rupture avec les gestes modernistes et avant-gardistes, tout en refusant une certaine complaisance cynique avec les évolutions les plus problématiques d'une scène désormais intégrée à la logique capitaliste de valorisation marchande.
L'explosion spéculative du marché de l'art, son abstraction croissante, la montée en puissance des processus de marchandisation, l'évolution du statut de l'artiste, le développement des techniques de reproduction qui redéfinissent les contours de la notion d'oeuvre, tout ceci concourt à modifier profondément les coordonnées traditionnelles de nos représentations esthétiques. Aussi, en s'inscrivant dans le sillage des analyses développées par la Théorie critique, Diedrich Diederichsen nous propose une réflexion particulièrement stimulante et décapante sur la scène artistique contemporaine.
Une réflexion qui prendrait en quelque sorte acte d'une rupture avec les gestes modernistes et avant-gardistes, tout en refusant une certaine complaisance cynique avec les évolutions les plus problématiques d'une scène désormais intégrée à la logique capitaliste de valorisation marchande.
Deux courts essais du théoricien et critique allemand Diedrich Diederichsen qui abordent la question du statut de la création artistique à l'époque du capitalisme tardif. Dans une perspective post-marxienne, l'auteur se propose de revenir sur deux motifs structurant selon lui les évolutions les plus récentes de l'art contemporain : celui de "plus-value" et de "(sur)production", deux notions qui permettent de réinterroger le processus de constitution de la valeur des oeuvres d'art.
L'explosion spéculative du marché de l'art, son abstraction croissante, la montée en puissance des processus de marchandisation, l'évolution du statut de l'artiste, le développement des techniques de reproduction qui redéfinissent les contours de la notion d'oeuvre, tout ceci concourt à modifier profondément les coordonnées traditionnelles de nos représentations esthétiques. Aussi, en s'inscrivant dans le sillage des analyses développées par la Théorie critique, Diedrich Diederichsen nous propose une réflexion particulièrement stimulante et décapante sur la scène artistique contemporaine.
Une réflexion qui prendrait en quelque sorte acte d'une rupture avec les gestes modernistes et avant-gardistes, tout en refusant une certaine complaisance cynique avec les évolutions les plus problématiques d'une scène désormais intégrée à la logique capitaliste de valorisation marchande.
L'explosion spéculative du marché de l'art, son abstraction croissante, la montée en puissance des processus de marchandisation, l'évolution du statut de l'artiste, le développement des techniques de reproduction qui redéfinissent les contours de la notion d'oeuvre, tout ceci concourt à modifier profondément les coordonnées traditionnelles de nos représentations esthétiques. Aussi, en s'inscrivant dans le sillage des analyses développées par la Théorie critique, Diedrich Diederichsen nous propose une réflexion particulièrement stimulante et décapante sur la scène artistique contemporaine.
Une réflexion qui prendrait en quelque sorte acte d'une rupture avec les gestes modernistes et avant-gardistes, tout en refusant une certaine complaisance cynique avec les évolutions les plus problématiques d'une scène désormais intégrée à la logique capitaliste de valorisation marchande.
