De la "France d'abord" à la "France seule". L'Action française face au national-socialisme et au Troisième Reich
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- Nombre de pages347
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.558 kg
- Dimensions15,4 cm × 23,8 cm × 2,6 cm
- ISBN978-2-36371-310-0
- EAN9782363713100
- Date de parution19/09/2019
- ÉditeurPierre-Guillaume de Roux
Résumé
L'Action française s'opposa à la fois au "germanisme" et au national-socialisme. C'est ce qu'analyse cet ouvrage qui a pour point d'orgue la vision maurrassienne du nazisme. Adversaires du Traité de Versailles, Maurras et ses amis considéraient que la politique d'Aristide Briand avait largement favorisé l'arrivée d'Hitler au pouvoir et voyaient dans le nazisme l'aboutissement de l'évolution du nationalisme allemand théorisé par Fichte.
Dès 1933, très inquiets du fait de la fragilité des relations entre l'Angleterre, l'Italie et la France, ils mirent en garde contre le risque d'une "guerre de civilisation "déclenchée par Hitler. Soucieux de "la France d'abord", ils acceptèrent les accords de Munich et s'opposèrent en 1939 jusqu'au dernier moment à la guerre contre le Troisième Reich. La défaite de 1940 confirma les pires de leurs craintes.
Favorables à l'armistice, dès juillet 1940, ils recommandèrent aux Français de s'inspirer des leçons de Fichte prodiguées à la "nation allemande" à l'heure de la domination napoléonienne afin de construire la "seule France", dont le socle aurait été la "Révolution nationale". Soutiens de Pétain, les maurrassiens furent les adversaires de Laval et du parti "collaborationniste".
Dès 1933, très inquiets du fait de la fragilité des relations entre l'Angleterre, l'Italie et la France, ils mirent en garde contre le risque d'une "guerre de civilisation "déclenchée par Hitler. Soucieux de "la France d'abord", ils acceptèrent les accords de Munich et s'opposèrent en 1939 jusqu'au dernier moment à la guerre contre le Troisième Reich. La défaite de 1940 confirma les pires de leurs craintes.
Favorables à l'armistice, dès juillet 1940, ils recommandèrent aux Français de s'inspirer des leçons de Fichte prodiguées à la "nation allemande" à l'heure de la domination napoléonienne afin de construire la "seule France", dont le socle aurait été la "Révolution nationale". Soutiens de Pétain, les maurrassiens furent les adversaires de Laval et du parti "collaborationniste".
L'Action française s'opposa à la fois au "germanisme" et au national-socialisme. C'est ce qu'analyse cet ouvrage qui a pour point d'orgue la vision maurrassienne du nazisme. Adversaires du Traité de Versailles, Maurras et ses amis considéraient que la politique d'Aristide Briand avait largement favorisé l'arrivée d'Hitler au pouvoir et voyaient dans le nazisme l'aboutissement de l'évolution du nationalisme allemand théorisé par Fichte.
Dès 1933, très inquiets du fait de la fragilité des relations entre l'Angleterre, l'Italie et la France, ils mirent en garde contre le risque d'une "guerre de civilisation "déclenchée par Hitler. Soucieux de "la France d'abord", ils acceptèrent les accords de Munich et s'opposèrent en 1939 jusqu'au dernier moment à la guerre contre le Troisième Reich. La défaite de 1940 confirma les pires de leurs craintes.
Favorables à l'armistice, dès juillet 1940, ils recommandèrent aux Français de s'inspirer des leçons de Fichte prodiguées à la "nation allemande" à l'heure de la domination napoléonienne afin de construire la "seule France", dont le socle aurait été la "Révolution nationale". Soutiens de Pétain, les maurrassiens furent les adversaires de Laval et du parti "collaborationniste".
Dès 1933, très inquiets du fait de la fragilité des relations entre l'Angleterre, l'Italie et la France, ils mirent en garde contre le risque d'une "guerre de civilisation "déclenchée par Hitler. Soucieux de "la France d'abord", ils acceptèrent les accords de Munich et s'opposèrent en 1939 jusqu'au dernier moment à la guerre contre le Troisième Reich. La défaite de 1940 confirma les pires de leurs craintes.
Favorables à l'armistice, dès juillet 1940, ils recommandèrent aux Français de s'inspirer des leçons de Fichte prodiguées à la "nation allemande" à l'heure de la domination napoléonienne afin de construire la "seule France", dont le socle aurait été la "Révolution nationale". Soutiens de Pétain, les maurrassiens furent les adversaires de Laval et du parti "collaborationniste".