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L'électricité dans tous ses états : celle de l'éclair, celle de la torture, l'électricité statique, le fil bleu et le fil rouge (...). Comme souvent chez Lespiau, ce qui apparaît du texte n'est que l'une de ses strates et le blanc de la page est aussi dense que la phrase lisible. (...) L'auteur coupe l'électricité d'un paragraphe à l'autre, d'un texte qui s'égrène sur le mode d'un traité. Très élaboré donc.
Très énigmatique aussi – mais ne sont-ce pas les textes qui "résistent" qui nous font le plus avancer ? (Catherine Weinzaepflen, Cahier Critique de Poésie n°13)