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  • Nombre de pages471
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.245 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-253-12580-8
  • EAN9782253125808
  • Date de parution03/06/2009
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche
  • TraducteurValérie Malfoy

Résumé

Ce roman pas comme les autres a une histoire exceptionnelle : en quelques mois, il a fait d’un auteur inconnu un véritable phénomène d’édition, le coup de coeur de l’Amérique. Durant la Grande Dépression, dans les années 1930, les trains des petits cirques ambulants sillonnent les États-Unis. Jacob Jankowski, orphelin sans le sou, saute à bord de celui des frères Benzini et de leur « plus grand spectacle du monde ». Embauché comme soigneur, il va découvrir l’envers sordide du décor. Tous, hommes et bêtes, sont pareillement exploités, maltraités.Sara Gruen fait revivre avec un incroyable talent cet univers de paillettes et de misère qui unit Jacob, Marlène la belle écuyère, et Rosie, l’éléphante que nul jusqu’alors n’a pu dresser, dans un improbable trio.Plus qu’un simple roman sur le cirque, De l’eau pour les éléphants est l’histoire bouleversante de deux êtres perdus dans un monde dur et violent où l’amour est un luxe.
Ce roman pas comme les autres a une histoire exceptionnelle : en quelques mois, il a fait d’un auteur inconnu un véritable phénomène d’édition, le coup de coeur de l’Amérique. Durant la Grande Dépression, dans les années 1930, les trains des petits cirques ambulants sillonnent les États-Unis. Jacob Jankowski, orphelin sans le sou, saute à bord de celui des frères Benzini et de leur « plus grand spectacle du monde ». Embauché comme soigneur, il va découvrir l’envers sordide du décor. Tous, hommes et bêtes, sont pareillement exploités, maltraités.Sara Gruen fait revivre avec un incroyable talent cet univers de paillettes et de misère qui unit Jacob, Marlène la belle écuyère, et Rosie, l’éléphante que nul jusqu’alors n’a pu dresser, dans un improbable trio.Plus qu’un simple roman sur le cirque, De l’eau pour les éléphants est l’histoire bouleversante de deux êtres perdus dans un monde dur et violent où l’amour est un luxe.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Beaucoup de bruits pour rien
Je m'attendais à un joli roman sur le milieu du cirque, et, en effet il en est question mais ça n'est pas le thème principal du livre. Il s'agit plutôt d'une histoire d'amour impossible entre un jeune homme orphelin en quête de repères et une femme mariée au responsable du cirque qu'elle considère plus comme son protecteur que son époux. Etant donné le succès de ce roman, j'avoue avoir été particulièrement déçue. Je reste sur ma fin même s'il reste bien écrit.
Je m'attendais à un joli roman sur le milieu du cirque, et, en effet il en est question mais ça n'est pas le thème principal du livre. Il s'agit plutôt d'une histoire d'amour impossible entre un jeune homme orphelin en quête de repères et une femme mariée au responsable du cirque qu'elle considère plus comme son protecteur que son époux. Etant donné le succès de ce roman, j'avoue avoir été particulièrement déçue. Je reste sur ma fin même s'il reste bien écrit.
  • Triste
  • histoire d'amour
  • animaux sauvages

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 26 notes dont 6 avis lecteurs
L'envers du cirque : entre maltraitance et histoire d'amour...
Grâce à une écriture farouche, à la fois sérieuse et poétique, mais aussi sans la moindre dissimulation, Sara Gruen nous offre une oeuvre en clair-obscur. Entre la maltraitance des hommes et des bêtes, la naïveté des spectateurs qui ne se rendent pas compte de ce qui se passe avant d'avoir toutes ces paillettes dans leurs yeux et les violences conjugales d'un homme schizophrène et jaloux ; il nous sera alors impossible de regarder le cirque comme avant. Nos souvenirs d'enfance sont brisés, mais pour la bonne cause. Afin de se rendre compte que même au cœur de la magie et de la beauté du spectacle, se cache des montagnes de cadavres dissimulés sous les tentes. Et tout à coup, cette lumière, qui pointe parfois le bout de son nez, grâce à l'émouvante histoire d'amour interdite entre Jacob et Marlène, la belle écuyère. La splendeur du numéro reprend le dessus, l'illusion fonctionne encore un peu, le désir de ces deux êtres est plus fort que tout et, en dépit des injustices et du sang, ils sauront s'aimer pendant tout le reste de leur vie. Avant que la mort ne reprenne peu à peu ses droits, laissant un vieil homme de 93 ans nous conter son histoire, éternellement amoureux du cirque comme un enfant aux pupilles brillantes et à la bouche collante de barbe-à-papa... "De l'eau pour les éléphants" de Sara Gruen est une réussite ! Un roman original par son idée et magistralement orchestré par l'auteure. En prenant en otage nos souvenirs d'enfance et la magie qu'évoque le cirque pour chacun d'entre nous, Sara Gruen retourne le spectacle afin de nous dévoiler l'envers du décor et ce qui se trame en coulisses. Hommes et animaux sont exploités et peu à peu, c'est la compassion qui prend le dessus sur la beauté du spectacle. On réalise alors que tout n'est que simulacres et faux-semblants. À travers des personnages forts qui se déchirent, la violence et le sang, les animaux sont les véritables héros de cette poésie douloureuse qui ne laissera aucun lecteur insensible. Un roman d'une poigne remarquable, qui marque à jamais et résonne encore dans un coin de l'esprit du lecteur, comme une languissante musique de fête...
Grâce à une écriture farouche, à la fois sérieuse et poétique, mais aussi sans la moindre dissimulation, Sara Gruen nous offre une oeuvre en clair-obscur. Entre la maltraitance des hommes et des bêtes, la naïveté des spectateurs qui ne se rendent pas compte de ce qui se passe avant d'avoir toutes ces paillettes dans leurs yeux et les violences conjugales d'un homme schizophrène et jaloux ; il nous sera alors impossible de regarder le cirque comme avant. Nos souvenirs d'enfance sont brisés, mais pour la bonne cause. Afin de se rendre compte que même au cœur de la magie et de la beauté du spectacle, se cache des montagnes de cadavres dissimulés sous les tentes. Et tout à coup, cette lumière, qui pointe parfois le bout de son nez, grâce à l'émouvante histoire d'amour interdite entre Jacob et Marlène, la belle écuyère. La splendeur du numéro reprend le dessus, l'illusion fonctionne encore un peu, le désir de ces deux êtres est plus fort que tout et, en dépit des injustices et du sang, ils sauront s'aimer pendant tout le reste de leur vie. Avant que la mort ne reprenne peu à peu ses droits, laissant un vieil homme de 93 ans nous conter son histoire, éternellement amoureux du cirque comme un enfant aux pupilles brillantes et à la bouche collante de barbe-à-papa... "De l'eau pour les éléphants" de Sara Gruen est une réussite ! Un roman original par son idée et magistralement orchestré par l'auteure. En prenant en otage nos souvenirs d'enfance et la magie qu'évoque le cirque pour chacun d'entre nous, Sara Gruen retourne le spectacle afin de nous dévoiler l'envers du décor et ce qui se trame en coulisses. Hommes et animaux sont exploités et peu à peu, c'est la compassion qui prend le dessus sur la beauté du spectacle. On réalise alors que tout n'est que simulacres et faux-semblants. À travers des personnages forts qui se déchirent, la violence et le sang, les animaux sont les véritables héros de cette poésie douloureuse qui ne laissera aucun lecteur insensible. Un roman d'une poigne remarquable, qui marque à jamais et résonne encore dans un coin de l'esprit du lecteur, comme une languissante musique de fête...
  • animaux
  • Amérique
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  • liberté
  • cirque
  • Grande Dépression
  • discrimination
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  • violences conjugales
  • Sara Gruen
  • 1930
  • illusions
Alternant les souvenirs de Jacob et sa vie de triste résident de maison de retraite, Sara Gruen nous entraîne dans la vie fabuleuse et impitoyable d'un cirque ambulant des années 30 aux Etats-Unis. Des larmes couleront à la lecture de cette bouleversante histoire.
Alternant les souvenirs de Jacob et sa vie de triste résident de maison de retraite, Sara Gruen nous entraîne dans la vie fabuleuse et impitoyable d'un cirque ambulant des années 30 aux Etats-Unis. Des larmes couleront à la lecture de cette bouleversante histoire.
Triste et prenant
« Tout n’est qu’illusion Jacob, et c’est bien ainsi. C’est ce qu’on nous demande, ce qu’on attend de nous. » Une petite phrase, tout simple, qui résume à elle seule l’univers du cirque , à cette époque-là. Jacob est très âgé, 90 -93 ans, il ne sait plus très bien. Il n’est pas très heureux dans cette maison de retraite. Je n’ai pas ressenti beaucoup d’humanité dans cet endroit-là. Les vieux, on les met là, on leur fait manger ça ; parce que c’est comme ça ! Ses enfants ne viennent pas beaucoup le voir ; ils ont leur vie. Il se distrait comme il peut. Un jour, un cirque plante son chapiteau en face de la maison de retraite. Jacob se souvient… Il était jeune, brillant, plein d’avenir…mais la vie en a décidé autrement. Un jour, orphelin, et sans le sou, il saute dans un train. Nous sommes dans les années 30, aux Etats Unis, la grande dépression. Ce train n’est autre que le convoi d’un cirque ambulant qui va de ville en ville distraire les populations. Avec Jacob, je découvrirai l’univers impitoyable du cirque. Je découvre, horrifiée, la vilenie, la cupidité, mais surtout la cruauté gratuite et inimaginable, tant vers les hommes, que vers (et pour moi, c’est pire encore, plus lâche) les animaux qui sont censés les nourrir. « Je m’installe à ne certaine distance de la tente qui abrite les bêtes délaissées, en proie à un désespoir croissant. » « Je tourne à l’angle à l’instant même où Pete égorge un cheval gris et décrépit. Le cheval hurle tandis qu’un geyser de sang jaillit de la plaie béante. » Moi aussi je hurle, mais on ne m’entend pas ! Jacob fait le dos rond, il lui faudra se faire accepter parmi tous. Il connaît les animaux, sait les soigner ; cela lui facilitera les choses. Il se fera quelques amis. Jacob voudrait bien quitter le train. Que lui manque-t-il ? La force, le courage ? Sans doute un peu des deux. « Je retourne à mon wagon et m’allonge sur mn sac de couchage, écœuré par ce qui se passe dans la ménagerie et surtout par ma propre passivité. » Mais il se souvient de son père et de ses valeurs. La lumière viendra de Marlène, la belle, elle aussi cabossée par la vie, et Rosie, une éléphante, malmenée, elle aussi par ce sale type d' August. Il n’y a pas grand monde pour s’opposer à lui. Tout le monde le craint. Un jour viendra où il récoltera ce qu’il a semé. Mais en attendant, chacun doit jouer son rôle, et passer le plus inaperçu possible. L’auteur ne s’est pas contenté d’une histoire de cirque, et de sentiments ; elle a bien montré le caractère particulier de cette époque avec sa crise économique, la prohibition et toutes les dérives qu’elle a provoquées. La vie, et les contraintes d’un cirque ainsi que celles et ceux qui le font vivre sont bien bordées. Le style est fluide ; les retours en arrière sont bien maitrisés. Ce roman se lit d’une traite, ou presque, et, laisse un très bon souvenir de lecture.
« Tout n’est qu’illusion Jacob, et c’est bien ainsi. C’est ce qu’on nous demande, ce qu’on attend de nous. » Une petite phrase, tout simple, qui résume à elle seule l’univers du cirque , à cette époque-là. Jacob est très âgé, 90 -93 ans, il ne sait plus très bien. Il n’est pas très heureux dans cette maison de retraite. Je n’ai pas ressenti beaucoup d’humanité dans cet endroit-là. Les vieux, on les met là, on leur fait manger ça ; parce que c’est comme ça ! Ses enfants ne viennent pas beaucoup le voir ; ils ont leur vie. Il se distrait comme il peut. Un jour, un cirque plante son chapiteau en face de la maison de retraite. Jacob se souvient… Il était jeune, brillant, plein d’avenir…mais la vie en a décidé autrement. Un jour, orphelin, et sans le sou, il saute dans un train. Nous sommes dans les années 30, aux Etats Unis, la grande dépression. Ce train n’est autre que le convoi d’un cirque ambulant qui va de ville en ville distraire les populations. Avec Jacob, je découvrirai l’univers impitoyable du cirque. Je découvre, horrifiée, la vilenie, la cupidité, mais surtout la cruauté gratuite et inimaginable, tant vers les hommes, que vers (et pour moi, c’est pire encore, plus lâche) les animaux qui sont censés les nourrir. « Je m’installe à ne certaine distance de la tente qui abrite les bêtes délaissées, en proie à un désespoir croissant. » « Je tourne à l’angle à l’instant même où Pete égorge un cheval gris et décrépit. Le cheval hurle tandis qu’un geyser de sang jaillit de la plaie béante. » Moi aussi je hurle, mais on ne m’entend pas ! Jacob fait le dos rond, il lui faudra se faire accepter parmi tous. Il connaît les animaux, sait les soigner ; cela lui facilitera les choses. Il se fera quelques amis. Jacob voudrait bien quitter le train. Que lui manque-t-il ? La force, le courage ? Sans doute un peu des deux. « Je retourne à mon wagon et m’allonge sur mn sac de couchage, écœuré par ce qui se passe dans la ménagerie et surtout par ma propre passivité. » Mais il se souvient de son père et de ses valeurs. La lumière viendra de Marlène, la belle, elle aussi cabossée par la vie, et Rosie, une éléphante, malmenée, elle aussi par ce sale type d' August. Il n’y a pas grand monde pour s’opposer à lui. Tout le monde le craint. Un jour viendra où il récoltera ce qu’il a semé. Mais en attendant, chacun doit jouer son rôle, et passer le plus inaperçu possible. L’auteur ne s’est pas contenté d’une histoire de cirque, et de sentiments ; elle a bien montré le caractère particulier de cette époque avec sa crise économique, la prohibition et toutes les dérives qu’elle a provoquées. La vie, et les contraintes d’un cirque ainsi que celles et ceux qui le font vivre sont bien bordées. Le style est fluide ; les retours en arrière sont bien maitrisés. Ce roman se lit d’une traite, ou presque, et, laisse un très bon souvenir de lecture.
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