De l'argumentation judiciaire

Par : François Martineau
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  • Nombre de pages125
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.055 kg
  • Dimensions8,0 cm × 11,9 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-247-24176-7
  • EAN9782247241767
  • Date de parution03/04/2025
  • CollectionA Savoir
  • ÉditeurDalloz

Résumé

L'art de résumer une théorie ou une série d'observations L'argumentation judiciaire est celle qui est exposée devant un juge, en vue d'obtenir une décision dans un cadre institutionnel et procédural donné, qui contient des arguments codifiés dans leur forme, dans leur contenu, et dans le moment de leur énoncé. L'avocat ne saurait exprimer une interprétation alors qu'il est convaincu de sa fausseté.
L'avocat ne peut être que loyal et de bonne foi dans sa démarche intellectuelle, et ne doit agir que dans la croyance réfléchie de ne rien avancer qu'il ne pense exact. La bonne foi de l'avocat doit être une sincérité qui s'affirme. A défaut, l'avocat ne peut se réclamer de la conception que Quintilien se faisait de l'orateur : " un homme de bien, habile dans l'art de parler, mais surtout un homme de bien ".
Un discours, quel qu'il soit, n'est jamais qu'une argumentation ; l'argumentation est toujours parcellaire ; elle doit viser d'abord et humblement la cohérence.
L'art de résumer une théorie ou une série d'observations L'argumentation judiciaire est celle qui est exposée devant un juge, en vue d'obtenir une décision dans un cadre institutionnel et procédural donné, qui contient des arguments codifiés dans leur forme, dans leur contenu, et dans le moment de leur énoncé. L'avocat ne saurait exprimer une interprétation alors qu'il est convaincu de sa fausseté.
L'avocat ne peut être que loyal et de bonne foi dans sa démarche intellectuelle, et ne doit agir que dans la croyance réfléchie de ne rien avancer qu'il ne pense exact. La bonne foi de l'avocat doit être une sincérité qui s'affirme. A défaut, l'avocat ne peut se réclamer de la conception que Quintilien se faisait de l'orateur : " un homme de bien, habile dans l'art de parler, mais surtout un homme de bien ".
Un discours, quel qu'il soit, n'est jamais qu'une argumentation ; l'argumentation est toujours parcellaire ; elle doit viser d'abord et humblement la cohérence.
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