Un ascète avait posé la cruche d'eau dont il se désaltérait à l'ombre; dans la journée, comme le soleil avait tourné, elle se trouva exposée à ses rayons, mais il se refusa à la déplacer craignant de céder à ce qu'il considérait comme un caprice de son âme...
Commentant cette anecdote dans le présent ouvrage, Ibn Ata Allah al-Iskandari discerne dans une telle attitude une imperfection spirituelle : selon lui, il eut été plus conforme à "l'Ordre de Dieu" de garder l'eau au frais afin qu'après avoir bu, tous ses membres se joignent à sa langue pour louer Dieu et Le remercier...
Un ascète avait posé la cruche d'eau dont il se désaltérait à l'ombre; dans la journée, comme le soleil avait tourné, elle se trouva exposée à ses rayons, mais il se refusa à la déplacer craignant de céder à ce qu'il considérait comme un caprice de son âme...
Commentant cette anecdote dans le présent ouvrage, Ibn Ata Allah al-Iskandari discerne dans une telle attitude une imperfection spirituelle : selon lui, il eut été plus conforme à "l'Ordre de Dieu" de garder l'eau au frais afin qu'après avoir bu, tous ses membres se joignent à sa langue pour louer Dieu et Le remercier...