De Gavre à Nancy (1453-1477). L'artillerie bourguignonne sur la voie de la "modernité"

Par : Michael Depreter
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages229
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.54 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,3 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-503-54186-0
  • EAN9782503541860
  • Date de parution01/01/2011
  • CollectionBurgundica
  • ÉditeurBrepols

Résumé

Dans la veine de la " nouvelle histoire militaire ", cette étude consacrée à l'artillerie " bourguignonne ", de la guerre menée par Philippe le Bon contre les Gantois (1451-1453) à la mort de Charles le Hardi devant Nancy (5 janvier 1477), vise à cerner l'organisation d'un instrument militaire alors en plein essor, engendrant d'importantes dépenses – relevant également des domaines du génie et de la logistique – qu'une administration compétente devait encadrer au mieux.
Au centre de l'objectif se trouve un personnel sans cesse croissant d'artisans–soldats dont la professionnalisation et la spécialisation reflètent les changements technologiques auxquels l'artillerie fut alors soumise sous l'impulsion des politiques des ducs de Bourgogne, et, en particulier, de Charles le Hardi, prince désirant disposer d'une artillerie puissante, efficace et à la pointe du progrès pour réaliser ses ambitions.
Michael Depreter, aspirant du F.R.S.-FNRS, étudie actuellement, à l'Université libre de Bruxelles, l'impact des relations entre l'artillerie, ses artisans et les pouvoirs, sur la construction de " l'Etat moderne ".
Dans la veine de la " nouvelle histoire militaire ", cette étude consacrée à l'artillerie " bourguignonne ", de la guerre menée par Philippe le Bon contre les Gantois (1451-1453) à la mort de Charles le Hardi devant Nancy (5 janvier 1477), vise à cerner l'organisation d'un instrument militaire alors en plein essor, engendrant d'importantes dépenses – relevant également des domaines du génie et de la logistique – qu'une administration compétente devait encadrer au mieux.
Au centre de l'objectif se trouve un personnel sans cesse croissant d'artisans–soldats dont la professionnalisation et la spécialisation reflètent les changements technologiques auxquels l'artillerie fut alors soumise sous l'impulsion des politiques des ducs de Bourgogne, et, en particulier, de Charles le Hardi, prince désirant disposer d'une artillerie puissante, efficace et à la pointe du progrès pour réaliser ses ambitions.
Michael Depreter, aspirant du F.R.S.-FNRS, étudie actuellement, à l'Université libre de Bruxelles, l'impact des relations entre l'artillerie, ses artisans et les pouvoirs, sur la construction de " l'Etat moderne ".