De Gaulle et la décolonisation de l'Afrique subsaharienne

Par : Philippe Oulmont, Maurice Vaïsse, Fondation Charles de Gaulle

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  • Nombre de pages252
  • PrésentationBroché
  • Poids0.422 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-8111-1033-8
  • EAN9782811110338
  • Date de parution01/10/2014
  • CollectionHommes et Sociétés
  • ÉditeurKarthala

Résumé

Le rôle du général de Gaulle dans le processus qui a conduit les états francophones de l'Afrique subsaharienne à l'indépendance et à la décolonisation, a fait déjà l'objet de nombreuses publications. Mais, plus d'un demi-siècle après, la recherche n'a pas fini de scruter cette période. Le lecteur trouvera ici à la fois les analyses d'historiens spécialistes et les recherches de praticiens du droit, de l'administration, de la finance et de la diplomatie, qui eux-mêmes étaient souvent aussi des témoins.
Connaître le rôle du général de Gaulle, c'est aussi mesurer la part de ceux qui furent de fidèles collaborateurs comme Jean Foyer ou Jacques Foccart, et des partenaires comme Léopold Sédar Senghor ou des adversaires comme Ahmed Sékou Touré. On comprendra mieux ainsi l'approche personnelle d'un Charles de Gaulle qui, sans que rien ne l'y prédisposât, au terme d'un apprentissage de l'Afrique commencé au Cameroun, au Tchad et au Congo, depuis août 1940 jusqu'à ses derniers voyages africains de 1958 et 1959, n'a cessé de porter sur ce continent et ses peuples un regard amical, marqué de fulgurances et de réticences, non dénué parfois d'un scepticisme désabusé.
Jusqu'à son départ en 1969, cette relation affective a scellé une forme de fidélité chaleureuse et réciproque qui a résisté aux péripéties.
Le rôle du général de Gaulle dans le processus qui a conduit les états francophones de l'Afrique subsaharienne à l'indépendance et à la décolonisation, a fait déjà l'objet de nombreuses publications. Mais, plus d'un demi-siècle après, la recherche n'a pas fini de scruter cette période. Le lecteur trouvera ici à la fois les analyses d'historiens spécialistes et les recherches de praticiens du droit, de l'administration, de la finance et de la diplomatie, qui eux-mêmes étaient souvent aussi des témoins.
Connaître le rôle du général de Gaulle, c'est aussi mesurer la part de ceux qui furent de fidèles collaborateurs comme Jean Foyer ou Jacques Foccart, et des partenaires comme Léopold Sédar Senghor ou des adversaires comme Ahmed Sékou Touré. On comprendra mieux ainsi l'approche personnelle d'un Charles de Gaulle qui, sans que rien ne l'y prédisposât, au terme d'un apprentissage de l'Afrique commencé au Cameroun, au Tchad et au Congo, depuis août 1940 jusqu'à ses derniers voyages africains de 1958 et 1959, n'a cessé de porter sur ce continent et ses peuples un regard amical, marqué de fulgurances et de réticences, non dénué parfois d'un scepticisme désabusé.
Jusqu'à son départ en 1969, cette relation affective a scellé une forme de fidélité chaleureuse et réciproque qui a résisté aux péripéties.