De Gaulle, Douze garçons d'honneur
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages205
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.287 kg
- Dimensions14,2 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-268-06983-8
- EAN9782268069838
- Date de parution23/09/2010
- ÉditeurRocher (Editions du)
Résumé
Novembre 1970. De gaulle est mort. Emotion nationale et déjà la question : qui va porter le cercueil du plus illustre des français ? Le maire de Colombey-les-Deux-Eglises, M. Jean Raullet, se dit que le "vieux" général couvert de gloire, porté en terre par les "jeunes" de son village, serait un symbole fort. Mme de Gaulle approuve ce choix. Le maire demande que l'on dresse une liste de dix noms. On lui en soumet douze.
Il se refuse à en retirer deux. Ils sont âgés de 17 à 23 ans. Ils sont fils du maire, du boucher, du boulanger, du menuisier... Tous connaissaient le général pour l'avoir vu en plusieurs circonstances lorsqu'ils étaient enfants de choeur ou qu'ils se rendaient à la Boisserie pour vendre des billets de tombola. L'un d'entre eux s'est même retrouvé près de lui lors du passage du tour de France... Lors de la cérémonie funèbre, les "douze garçons d'honneur" portent leur regard embué sur les compagnons de la libération qui arborent l'écu barré d'un glaive et frappé d'une croix de lorraine.
à quelques mètres de là le fossoyeur se demande si les "petits" sauront déposer le cercueil sans qu'il leur échappe ou glisse. Mais tout se passera bien.
Il se refuse à en retirer deux. Ils sont âgés de 17 à 23 ans. Ils sont fils du maire, du boucher, du boulanger, du menuisier... Tous connaissaient le général pour l'avoir vu en plusieurs circonstances lorsqu'ils étaient enfants de choeur ou qu'ils se rendaient à la Boisserie pour vendre des billets de tombola. L'un d'entre eux s'est même retrouvé près de lui lors du passage du tour de France... Lors de la cérémonie funèbre, les "douze garçons d'honneur" portent leur regard embué sur les compagnons de la libération qui arborent l'écu barré d'un glaive et frappé d'une croix de lorraine.
à quelques mètres de là le fossoyeur se demande si les "petits" sauront déposer le cercueil sans qu'il leur échappe ou glisse. Mais tout se passera bien.
Novembre 1970. De gaulle est mort. Emotion nationale et déjà la question : qui va porter le cercueil du plus illustre des français ? Le maire de Colombey-les-Deux-Eglises, M. Jean Raullet, se dit que le "vieux" général couvert de gloire, porté en terre par les "jeunes" de son village, serait un symbole fort. Mme de Gaulle approuve ce choix. Le maire demande que l'on dresse une liste de dix noms. On lui en soumet douze.
Il se refuse à en retirer deux. Ils sont âgés de 17 à 23 ans. Ils sont fils du maire, du boucher, du boulanger, du menuisier... Tous connaissaient le général pour l'avoir vu en plusieurs circonstances lorsqu'ils étaient enfants de choeur ou qu'ils se rendaient à la Boisserie pour vendre des billets de tombola. L'un d'entre eux s'est même retrouvé près de lui lors du passage du tour de France... Lors de la cérémonie funèbre, les "douze garçons d'honneur" portent leur regard embué sur les compagnons de la libération qui arborent l'écu barré d'un glaive et frappé d'une croix de lorraine.
à quelques mètres de là le fossoyeur se demande si les "petits" sauront déposer le cercueil sans qu'il leur échappe ou glisse. Mais tout se passera bien.
Il se refuse à en retirer deux. Ils sont âgés de 17 à 23 ans. Ils sont fils du maire, du boucher, du boulanger, du menuisier... Tous connaissaient le général pour l'avoir vu en plusieurs circonstances lorsqu'ils étaient enfants de choeur ou qu'ils se rendaient à la Boisserie pour vendre des billets de tombola. L'un d'entre eux s'est même retrouvé près de lui lors du passage du tour de France... Lors de la cérémonie funèbre, les "douze garçons d'honneur" portent leur regard embué sur les compagnons de la libération qui arborent l'écu barré d'un glaive et frappé d'une croix de lorraine.
à quelques mètres de là le fossoyeur se demande si les "petits" sauront déposer le cercueil sans qu'il leur échappe ou glisse. Mais tout se passera bien.