De Cochise à Geronimo. Les Apaches Chiricahuas, 1874-1886
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages744
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.63 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,5 cm
- ISBN978-2-268-11105-6
- EAN9782268111056
- Date de parution30/10/2024
- ÉditeurRocher (Editions du)
- TraducteurThierry Chevrier
Résumé
Au cours des douze années qui suivirent la mort du chef Cochise en juin 1874, les Apaches chiricahuas ont âprement combattu les troupes américaines et mexicaines pour sauvegarder leur terre, leur mode de vie. Rarement, et avec autant de précisions, un historien a été aussi loin dans la recherche, les explications, avec force détails révélateurs, quant au déchirement et à la violence produits par les Apaches, aussi bien entre eux qu'avec les Américains.
Sweeney décrit les événements cataclysmiques des années 1874-1886, résultant en grande partie des graines de méfiance semées par des officiers de l'armée américaine et des agents du gouvernement. Ces derniers, souvent corrompus, détournant, entre autres, les rations alimentaires destinées aux Indiens, sont à l'origine de graves malentendus qui déclenchèrent de sanglants conflits entre les factions chiricahuas.
Ce faisant, la tâche de l'armée pour recruter des éclaireurs apaches en fut facilitée ; en effet, et les militaires l'avaient bien compris durant les 12 ans de la guerre de Cochise : seul un Apache peut rattraper un Apache... Après avoir déplacé de force les Chiricahuas de la réserve de paix des Dragoon Mountains de Cochise à l'enfer de celle de San Carlos, les réfractaires comme Vittorio, Juh, Nana, Geronimo, Mangas mais aussi, contraint et forcé, Naiche, le fils cadet de Cochise, alors chef héréditaire, entraînèrent plusieurs factions apaches dans une nouvelle guerre.
Plus de dix ans durant, ils lancèrent des raids sanglants tant au Mexique qu'aux Etats-Unis. Mais les éclaireurs apaches et la loi du nombre eurent raison d'une résistance considérée, dans l'Histoire, comme exceptionnellement prodigieuse. Résignés, les Chiricahuas durent se rendre en 1886 pour subir l'humiliation et la douleur d'une terrible déportation en Floride, dont le climat humide, quasi tropical par rapport au désert et aux montagnes de leur cher Sud-Ouest, extermina une grande partie de la tribu.
C'est en 1913 que le gouvernement leur permit, enfin - si l'on peut dire... -, de revenir sur leur terre natale.
Sweeney décrit les événements cataclysmiques des années 1874-1886, résultant en grande partie des graines de méfiance semées par des officiers de l'armée américaine et des agents du gouvernement. Ces derniers, souvent corrompus, détournant, entre autres, les rations alimentaires destinées aux Indiens, sont à l'origine de graves malentendus qui déclenchèrent de sanglants conflits entre les factions chiricahuas.
Ce faisant, la tâche de l'armée pour recruter des éclaireurs apaches en fut facilitée ; en effet, et les militaires l'avaient bien compris durant les 12 ans de la guerre de Cochise : seul un Apache peut rattraper un Apache... Après avoir déplacé de force les Chiricahuas de la réserve de paix des Dragoon Mountains de Cochise à l'enfer de celle de San Carlos, les réfractaires comme Vittorio, Juh, Nana, Geronimo, Mangas mais aussi, contraint et forcé, Naiche, le fils cadet de Cochise, alors chef héréditaire, entraînèrent plusieurs factions apaches dans une nouvelle guerre.
Plus de dix ans durant, ils lancèrent des raids sanglants tant au Mexique qu'aux Etats-Unis. Mais les éclaireurs apaches et la loi du nombre eurent raison d'une résistance considérée, dans l'Histoire, comme exceptionnellement prodigieuse. Résignés, les Chiricahuas durent se rendre en 1886 pour subir l'humiliation et la douleur d'une terrible déportation en Floride, dont le climat humide, quasi tropical par rapport au désert et aux montagnes de leur cher Sud-Ouest, extermina une grande partie de la tribu.
C'est en 1913 que le gouvernement leur permit, enfin - si l'on peut dire... -, de revenir sur leur terre natale.
Au cours des douze années qui suivirent la mort du chef Cochise en juin 1874, les Apaches chiricahuas ont âprement combattu les troupes américaines et mexicaines pour sauvegarder leur terre, leur mode de vie. Rarement, et avec autant de précisions, un historien a été aussi loin dans la recherche, les explications, avec force détails révélateurs, quant au déchirement et à la violence produits par les Apaches, aussi bien entre eux qu'avec les Américains.
Sweeney décrit les événements cataclysmiques des années 1874-1886, résultant en grande partie des graines de méfiance semées par des officiers de l'armée américaine et des agents du gouvernement. Ces derniers, souvent corrompus, détournant, entre autres, les rations alimentaires destinées aux Indiens, sont à l'origine de graves malentendus qui déclenchèrent de sanglants conflits entre les factions chiricahuas.
Ce faisant, la tâche de l'armée pour recruter des éclaireurs apaches en fut facilitée ; en effet, et les militaires l'avaient bien compris durant les 12 ans de la guerre de Cochise : seul un Apache peut rattraper un Apache... Après avoir déplacé de force les Chiricahuas de la réserve de paix des Dragoon Mountains de Cochise à l'enfer de celle de San Carlos, les réfractaires comme Vittorio, Juh, Nana, Geronimo, Mangas mais aussi, contraint et forcé, Naiche, le fils cadet de Cochise, alors chef héréditaire, entraînèrent plusieurs factions apaches dans une nouvelle guerre.
Plus de dix ans durant, ils lancèrent des raids sanglants tant au Mexique qu'aux Etats-Unis. Mais les éclaireurs apaches et la loi du nombre eurent raison d'une résistance considérée, dans l'Histoire, comme exceptionnellement prodigieuse. Résignés, les Chiricahuas durent se rendre en 1886 pour subir l'humiliation et la douleur d'une terrible déportation en Floride, dont le climat humide, quasi tropical par rapport au désert et aux montagnes de leur cher Sud-Ouest, extermina une grande partie de la tribu.
C'est en 1913 que le gouvernement leur permit, enfin - si l'on peut dire... -, de revenir sur leur terre natale.
Sweeney décrit les événements cataclysmiques des années 1874-1886, résultant en grande partie des graines de méfiance semées par des officiers de l'armée américaine et des agents du gouvernement. Ces derniers, souvent corrompus, détournant, entre autres, les rations alimentaires destinées aux Indiens, sont à l'origine de graves malentendus qui déclenchèrent de sanglants conflits entre les factions chiricahuas.
Ce faisant, la tâche de l'armée pour recruter des éclaireurs apaches en fut facilitée ; en effet, et les militaires l'avaient bien compris durant les 12 ans de la guerre de Cochise : seul un Apache peut rattraper un Apache... Après avoir déplacé de force les Chiricahuas de la réserve de paix des Dragoon Mountains de Cochise à l'enfer de celle de San Carlos, les réfractaires comme Vittorio, Juh, Nana, Geronimo, Mangas mais aussi, contraint et forcé, Naiche, le fils cadet de Cochise, alors chef héréditaire, entraînèrent plusieurs factions apaches dans une nouvelle guerre.
Plus de dix ans durant, ils lancèrent des raids sanglants tant au Mexique qu'aux Etats-Unis. Mais les éclaireurs apaches et la loi du nombre eurent raison d'une résistance considérée, dans l'Histoire, comme exceptionnellement prodigieuse. Résignés, les Chiricahuas durent se rendre en 1886 pour subir l'humiliation et la douleur d'une terrible déportation en Floride, dont le climat humide, quasi tropical par rapport au désert et aux montagnes de leur cher Sud-Ouest, extermina une grande partie de la tribu.
C'est en 1913 que le gouvernement leur permit, enfin - si l'on peut dire... -, de revenir sur leur terre natale.