De Catulle à Ovide. Florilège de poèmes latins traduits en vers français

Par : Jean-Charles Llinares, Dominique Voisin
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 3 décembre
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 7 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages98
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.135 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-296-99790-5
  • EAN9782296997905
  • Date de parution01/11/2012
  • CollectionPoètes des cinq continents
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Qui ne lit pas couramment la langue de Virgile découvrira avec curiosité et plaisir ce florilège de poèmes latins traduits en vers français. On sait que le prix à payer pour obtenir une traduction précise et fidèle, respectueuse de la syntaxe et du lexique, est la disparition de ce qui fait de ces textes des poèmes. Les procédés techniques de l'écriture poétique et leurs effets ensemble se volatilisent, ensemble se transmutent au cours de cette étrange alchimie verbale qui consiste à changer l'or du latin en savante prose de plomb : le sens, au fond du creuset de la traduction prosaïque, repose sur la cendre du poème.
Or il n'est pas chimérique de penser qu'une traduction versifiée rigoureuse peut à la fois respecter le sens, les tournures, les figures et les mots, et recréer des effets semblables à ceux des poèmes originaux.
Qui ne lit pas couramment la langue de Virgile découvrira avec curiosité et plaisir ce florilège de poèmes latins traduits en vers français. On sait que le prix à payer pour obtenir une traduction précise et fidèle, respectueuse de la syntaxe et du lexique, est la disparition de ce qui fait de ces textes des poèmes. Les procédés techniques de l'écriture poétique et leurs effets ensemble se volatilisent, ensemble se transmutent au cours de cette étrange alchimie verbale qui consiste à changer l'or du latin en savante prose de plomb : le sens, au fond du creuset de la traduction prosaïque, repose sur la cendre du poème.
Or il n'est pas chimérique de penser qu'une traduction versifiée rigoureuse peut à la fois respecter le sens, les tournures, les figures et les mots, et recréer des effets semblables à ceux des poèmes originaux.