De beaux rêves. Obstacles philosophiques à une science de la conscience
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages318
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.17 kg
- Dimensions10,9 cm × 17,8 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-07-044348-2
- EAN9782070443482
- Date de parution02/02/2012
- CollectionFolio. Essais
- ÉditeurGallimard
- TraducteurClaude Pichevin
Résumé
La conscience est un champ de bataille où s'affrontent les
idées, en un tumulte sur lequel continuent de planer les ombres
du Théâtre Cartésien. Les certitudes en apparence les plus
fortes, ancrées dans des notions qui tendent à préserver l'esprit
de tout modèle qui nous en délivrerait, continuent de dispenser
un brouillard que Daniel Dennett s'efforce allègrement de
dissiper en s'attaquant aux contre-sens ou aux pseudo-
évidences dont la plupart des débats sont inutilement
encombrés.
Abandonnant le rêveur à ses rêves et le magicien à sa magie, Daniel Dennett poursuit ici, avec brio, une entreprise de clarification qui tourne le dos aux convictions les plus tenaces, en faisant appel à un modèle qui ne s'en laisse pas conter, celui de la "célébrité cérébrale" : "Dans le cerveau, pas de Roi, pas de Contrôleur Officiel des programmes de la Télévision d'Etat", écrit-il.
La démocratie, l'anarchie y sont autrement plus actives et efficaces. La conscience n'est pas un "médium de représentation"... Elle a "plus d'affinités avec la notoriété qu'avec la télévision".
Abandonnant le rêveur à ses rêves et le magicien à sa magie, Daniel Dennett poursuit ici, avec brio, une entreprise de clarification qui tourne le dos aux convictions les plus tenaces, en faisant appel à un modèle qui ne s'en laisse pas conter, celui de la "célébrité cérébrale" : "Dans le cerveau, pas de Roi, pas de Contrôleur Officiel des programmes de la Télévision d'Etat", écrit-il.
La démocratie, l'anarchie y sont autrement plus actives et efficaces. La conscience n'est pas un "médium de représentation"... Elle a "plus d'affinités avec la notoriété qu'avec la télévision".
La conscience est un champ de bataille où s'affrontent les
idées, en un tumulte sur lequel continuent de planer les ombres
du Théâtre Cartésien. Les certitudes en apparence les plus
fortes, ancrées dans des notions qui tendent à préserver l'esprit
de tout modèle qui nous en délivrerait, continuent de dispenser
un brouillard que Daniel Dennett s'efforce allègrement de
dissiper en s'attaquant aux contre-sens ou aux pseudo-
évidences dont la plupart des débats sont inutilement
encombrés.
Abandonnant le rêveur à ses rêves et le magicien à sa magie, Daniel Dennett poursuit ici, avec brio, une entreprise de clarification qui tourne le dos aux convictions les plus tenaces, en faisant appel à un modèle qui ne s'en laisse pas conter, celui de la "célébrité cérébrale" : "Dans le cerveau, pas de Roi, pas de Contrôleur Officiel des programmes de la Télévision d'Etat", écrit-il.
La démocratie, l'anarchie y sont autrement plus actives et efficaces. La conscience n'est pas un "médium de représentation"... Elle a "plus d'affinités avec la notoriété qu'avec la télévision".
Abandonnant le rêveur à ses rêves et le magicien à sa magie, Daniel Dennett poursuit ici, avec brio, une entreprise de clarification qui tourne le dos aux convictions les plus tenaces, en faisant appel à un modèle qui ne s'en laisse pas conter, celui de la "célébrité cérébrale" : "Dans le cerveau, pas de Roi, pas de Contrôleur Officiel des programmes de la Télévision d'Etat", écrit-il.
La démocratie, l'anarchie y sont autrement plus actives et efficaces. La conscience n'est pas un "médium de représentation"... Elle a "plus d'affinités avec la notoriété qu'avec la télévision".