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Dans les cercles de Cernunnos. Le dieu primordial des Celtes et ses avatars
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- Nombre de pages554
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.915 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 4,4 cm
- ISBN978-2-9549455-1-4
- EAN9782954945514
- Date de parution01/01/2017
- ÉditeurLucterios
Résumé
Le dieu-cerf des anciens Celtes incarne d'abord la fécondité, l'abondance et l'immortalité. L'iconographie celtique et gallo-romaine, les mythes transmis par les auteurs antiques, les récits gallois et irlandais, ainsi que certaines coutumes de l'Europe ancienne permettent de retrouver les traces d'un dieu aux multiples visages qui peut se manifester comme phallus primordial, arbre cosmique ou axe de la roue sidérale.
Son principal avatar est un grand cerf immémorial dont le sacrifice semble être à l'origine de toute création. De sa ramure naissent les deux forces antagonistes qui produisent éternellement le levant et le couchant, la lumière et les ténèbres, la vie et la mort, la création et la destruction. Maître du ciel nocturne et de l'éternel retour, le dieu cerf conduit toute création dans une chasse éternelle...
Tel est le portrait idéal qui ressort en filigrane si on fait abstraction des lieux et dates de ses différentes manifestations. En réalité, les différents aspects de Cernunnos se côtoient, se succèdent et se chevauchent dans un foisonnement dont on ignore s'il provient d'un archétype lié à l'ethnogenèse des Celtes ou, au contraire, si les "choses sacrées" et le personnel divin subissent son attraction et se structurent de plus en plus par rapport à lui.
Son principal avatar est un grand cerf immémorial dont le sacrifice semble être à l'origine de toute création. De sa ramure naissent les deux forces antagonistes qui produisent éternellement le levant et le couchant, la lumière et les ténèbres, la vie et la mort, la création et la destruction. Maître du ciel nocturne et de l'éternel retour, le dieu cerf conduit toute création dans une chasse éternelle...
Tel est le portrait idéal qui ressort en filigrane si on fait abstraction des lieux et dates de ses différentes manifestations. En réalité, les différents aspects de Cernunnos se côtoient, se succèdent et se chevauchent dans un foisonnement dont on ignore s'il provient d'un archétype lié à l'ethnogenèse des Celtes ou, au contraire, si les "choses sacrées" et le personnel divin subissent son attraction et se structurent de plus en plus par rapport à lui.
Le dieu-cerf des anciens Celtes incarne d'abord la fécondité, l'abondance et l'immortalité. L'iconographie celtique et gallo-romaine, les mythes transmis par les auteurs antiques, les récits gallois et irlandais, ainsi que certaines coutumes de l'Europe ancienne permettent de retrouver les traces d'un dieu aux multiples visages qui peut se manifester comme phallus primordial, arbre cosmique ou axe de la roue sidérale.
Son principal avatar est un grand cerf immémorial dont le sacrifice semble être à l'origine de toute création. De sa ramure naissent les deux forces antagonistes qui produisent éternellement le levant et le couchant, la lumière et les ténèbres, la vie et la mort, la création et la destruction. Maître du ciel nocturne et de l'éternel retour, le dieu cerf conduit toute création dans une chasse éternelle...
Tel est le portrait idéal qui ressort en filigrane si on fait abstraction des lieux et dates de ses différentes manifestations. En réalité, les différents aspects de Cernunnos se côtoient, se succèdent et se chevauchent dans un foisonnement dont on ignore s'il provient d'un archétype lié à l'ethnogenèse des Celtes ou, au contraire, si les "choses sacrées" et le personnel divin subissent son attraction et se structurent de plus en plus par rapport à lui.
Son principal avatar est un grand cerf immémorial dont le sacrifice semble être à l'origine de toute création. De sa ramure naissent les deux forces antagonistes qui produisent éternellement le levant et le couchant, la lumière et les ténèbres, la vie et la mort, la création et la destruction. Maître du ciel nocturne et de l'éternel retour, le dieu cerf conduit toute création dans une chasse éternelle...
Tel est le portrait idéal qui ressort en filigrane si on fait abstraction des lieux et dates de ses différentes manifestations. En réalité, les différents aspects de Cernunnos se côtoient, se succèdent et se chevauchent dans un foisonnement dont on ignore s'il provient d'un archétype lié à l'ethnogenèse des Celtes ou, au contraire, si les "choses sacrées" et le personnel divin subissent son attraction et se structurent de plus en plus par rapport à lui.


