Dans le tourbillon de la Révolution. Mots d'ordre et engagements collectifs aux frontières septentrionales (1791-1793)
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages324
- PrésentationBroché
- Poids0.5 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-7535-5043-8
- EAN9782753550438
- Date de parution07/10/2016
- CollectionHistoire
- ÉditeurPU Rennes
- PréfacierJean-Pierre Jessenne
Résumé
Comment de simples citoyens en viennent-ils à s'engager dans des débats et des mouvements historiques qui transforment durablement la France ? Cette question devient cruciale au cours de la Révolution française : la période d'incertitudes qui s'ouvre en 1791 avec la multiplication des émeutes locales et la fuite du roi place les mobilisations collectives au coeur des préoccupations. C'est tout particulièrement le cas dans les districts frontaliers des Ardennes, du Nord et du Pas-Calais qui se retrouvent aux premières loges des désertions, puis de la guerre.
Au cours de deux années particulièrement denses où se joue l'avenir de la République, la dynamique révolutionnaire, à l'image d'un tourbillon, est entretenue par des conflits, des prises de position concurrentes, des forces antagonistes. Les engagements collectifs aux frontières septentrionales ont alors des répercussions nationales car ils s'inscrivent dans des échanges intenses d'informations et d'hommes entre les territoires frontaliers, Paris mais également les pays voisins, belges et anglais.
Les chansons, les pétitions, les fêtes ou encore les cris insurrectionnels sont autant de traces d'une histoire à hauteur d'hommes, une histoire vécue de la politique qui interroge la manière dont les citoyens s'approprient les mots d'ordre généraux, les investissent de leurs craintes et de leurs espérances. Ce livre, à partir des territoires frontaliers en Révolution, propose ainsi une réflexion sur les usages de la citoyenneté, la signification des mesures d'exception mises en oeuvre pour faire face aux périls et les répercussions des postures identitaires adoptées face à l'étranger.
Avec une préface de Jean-Pierre Jessenne. Avec le concours du Laboratoire des sciences historiques (LSH, EA 2273), de l'Institut de recherches historiques du Septentrion (IRHIS, UMR CNRS 8529) et de la municipalité de Sedan.
Au cours de deux années particulièrement denses où se joue l'avenir de la République, la dynamique révolutionnaire, à l'image d'un tourbillon, est entretenue par des conflits, des prises de position concurrentes, des forces antagonistes. Les engagements collectifs aux frontières septentrionales ont alors des répercussions nationales car ils s'inscrivent dans des échanges intenses d'informations et d'hommes entre les territoires frontaliers, Paris mais également les pays voisins, belges et anglais.
Les chansons, les pétitions, les fêtes ou encore les cris insurrectionnels sont autant de traces d'une histoire à hauteur d'hommes, une histoire vécue de la politique qui interroge la manière dont les citoyens s'approprient les mots d'ordre généraux, les investissent de leurs craintes et de leurs espérances. Ce livre, à partir des territoires frontaliers en Révolution, propose ainsi une réflexion sur les usages de la citoyenneté, la signification des mesures d'exception mises en oeuvre pour faire face aux périls et les répercussions des postures identitaires adoptées face à l'étranger.
Avec une préface de Jean-Pierre Jessenne. Avec le concours du Laboratoire des sciences historiques (LSH, EA 2273), de l'Institut de recherches historiques du Septentrion (IRHIS, UMR CNRS 8529) et de la municipalité de Sedan.
Comment de simples citoyens en viennent-ils à s'engager dans des débats et des mouvements historiques qui transforment durablement la France ? Cette question devient cruciale au cours de la Révolution française : la période d'incertitudes qui s'ouvre en 1791 avec la multiplication des émeutes locales et la fuite du roi place les mobilisations collectives au coeur des préoccupations. C'est tout particulièrement le cas dans les districts frontaliers des Ardennes, du Nord et du Pas-Calais qui se retrouvent aux premières loges des désertions, puis de la guerre.
Au cours de deux années particulièrement denses où se joue l'avenir de la République, la dynamique révolutionnaire, à l'image d'un tourbillon, est entretenue par des conflits, des prises de position concurrentes, des forces antagonistes. Les engagements collectifs aux frontières septentrionales ont alors des répercussions nationales car ils s'inscrivent dans des échanges intenses d'informations et d'hommes entre les territoires frontaliers, Paris mais également les pays voisins, belges et anglais.
Les chansons, les pétitions, les fêtes ou encore les cris insurrectionnels sont autant de traces d'une histoire à hauteur d'hommes, une histoire vécue de la politique qui interroge la manière dont les citoyens s'approprient les mots d'ordre généraux, les investissent de leurs craintes et de leurs espérances. Ce livre, à partir des territoires frontaliers en Révolution, propose ainsi une réflexion sur les usages de la citoyenneté, la signification des mesures d'exception mises en oeuvre pour faire face aux périls et les répercussions des postures identitaires adoptées face à l'étranger.
Avec une préface de Jean-Pierre Jessenne. Avec le concours du Laboratoire des sciences historiques (LSH, EA 2273), de l'Institut de recherches historiques du Septentrion (IRHIS, UMR CNRS 8529) et de la municipalité de Sedan.
Au cours de deux années particulièrement denses où se joue l'avenir de la République, la dynamique révolutionnaire, à l'image d'un tourbillon, est entretenue par des conflits, des prises de position concurrentes, des forces antagonistes. Les engagements collectifs aux frontières septentrionales ont alors des répercussions nationales car ils s'inscrivent dans des échanges intenses d'informations et d'hommes entre les territoires frontaliers, Paris mais également les pays voisins, belges et anglais.
Les chansons, les pétitions, les fêtes ou encore les cris insurrectionnels sont autant de traces d'une histoire à hauteur d'hommes, une histoire vécue de la politique qui interroge la manière dont les citoyens s'approprient les mots d'ordre généraux, les investissent de leurs craintes et de leurs espérances. Ce livre, à partir des territoires frontaliers en Révolution, propose ainsi une réflexion sur les usages de la citoyenneté, la signification des mesures d'exception mises en oeuvre pour faire face aux périls et les répercussions des postures identitaires adoptées face à l'étranger.
Avec une préface de Jean-Pierre Jessenne. Avec le concours du Laboratoire des sciences historiques (LSH, EA 2273), de l'Institut de recherches historiques du Septentrion (IRHIS, UMR CNRS 8529) et de la municipalité de Sedan.