Genèse d'un chef-d'oeuvre. Film adoré par des générations de spectateurs, Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville reste la référence absolue du polar et une source d'inspiration pour les cinéastes du monde entier. Grâce aux feuilles de service quotidiennes qu'il a conservées, Bernard Stora, alors jeune premier assistant de Melville, raconte ici les 66 jours de cette incroyable odyssée cinématographique que constitua le tournage du Cercle rouge, en 1970.
Révélant comment ont été conçues les scènes les plus célèbres du film, il évoque son casting prestigieux : Bourvil, rongé par la maladie, bouleversant dans un rôle à contre-emploi, Alain Delon, impeccable et distant, Yves Montand, passionné, imprévisible, Gian Maria Volonte, exaspéré par la personnalité de Melville, qui menace d'abandonner le film en plein tournage. Observateur privilégié, à la fois participant et témoin, Bernard Stora livre un portrait littéraire, admiratif et tendre, mais sans concession, de Jean-Pierre Melville, personnage extravagant, à la mégalomanie assumée, qui a donné au cinéma français quelques-uns de ses plus grands films.
Genèse d'un chef-d'oeuvre. Film adoré par des générations de spectateurs, Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville reste la référence absolue du polar et une source d'inspiration pour les cinéastes du monde entier. Grâce aux feuilles de service quotidiennes qu'il a conservées, Bernard Stora, alors jeune premier assistant de Melville, raconte ici les 66 jours de cette incroyable odyssée cinématographique que constitua le tournage du Cercle rouge, en 1970.
Révélant comment ont été conçues les scènes les plus célèbres du film, il évoque son casting prestigieux : Bourvil, rongé par la maladie, bouleversant dans un rôle à contre-emploi, Alain Delon, impeccable et distant, Yves Montand, passionné, imprévisible, Gian Maria Volonte, exaspéré par la personnalité de Melville, qui menace d'abandonner le film en plein tournage. Observateur privilégié, à la fois participant et témoin, Bernard Stora livre un portrait littéraire, admiratif et tendre, mais sans concession, de Jean-Pierre Melville, personnage extravagant, à la mégalomanie assumée, qui a donné au cinéma français quelques-uns de ses plus grands films.