Hakim Khaldi, humanitaire au sein d'une ONG médicale française, retourne en Syrie après la chute du régime pour évaluer les besoins médicaux. Il témoigne d'un pays à la fois dévasté et en liesse. Partout, les Syriennes et Syriens rencontrés sont clairs : il ne s'agissait pas d'une guerre civile, mais d'une guerre menée par la dynastie Al-Assad contre son propre peuple. "Il fallait survivre, oublier qu'on était Syriens, effacer son identité" , confie Ahmed, pharmacien d'Alep.
Depuis la chute de Bachar le 8 décembre, l'espoir renaît : "Cette terre appartient au peuple syrien, plus jamais une dictature ne nous la volera". En Syrie ou en exil, toutes et tous racontent l'oppression, la résistance, et désormais le potentiel espoir.
Hakim Khaldi, humanitaire au sein d'une ONG médicale française, retourne en Syrie après la chute du régime pour évaluer les besoins médicaux. Il témoigne d'un pays à la fois dévasté et en liesse. Partout, les Syriennes et Syriens rencontrés sont clairs : il ne s'agissait pas d'une guerre civile, mais d'une guerre menée par la dynastie Al-Assad contre son propre peuple. "Il fallait survivre, oublier qu'on était Syriens, effacer son identité" , confie Ahmed, pharmacien d'Alep.
Depuis la chute de Bachar le 8 décembre, l'espoir renaît : "Cette terre appartient au peuple syrien, plus jamais une dictature ne nous la volera". En Syrie ou en exil, toutes et tous racontent l'oppression, la résistance, et désormais le potentiel espoir.