Dans la mer il y a des crocodiles. L'histoire vraie d'Enaiatollah Akbari

Name: Dans la mer il y a des crocodiles
Price: 7.8 EUR
Availability: InStock
Rating: 4.3 (2 reviews)
Author: Fabio Geda
ISBN: 978-2-290-36172-6

Par : Fabio Geda, Enaiatollah Akbari

4.3/5

sur 10 notes

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Poche

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Nombre de pages216
PrésentationBroché
FormatPoche
Poids0.12 kg
Dimensions11,1 cm × 17,8 cm × 1,4 cm
ISBN978-2-290-36172-6
EAN9782290361726
Date de parution02/02/2022
CollectionJ'ai lu
ÉditeurJ'ai lu
TraducteurSamuel Sfez

Résumé

Enaiat ne connaît pas son âge, mais à dix ou onze ans, il sait déjà qu'il est condamné à mort. Car il est né hazara, une ethnie afghane haïe autant par les Pachtounes que par les talibans. Pour le protéger, sa mère l'abandonne de l'autre côté de la frontière, au Pakistan. Commence alors pour ce bonhomme "pas plus haut qu'une chèvre" un périple de cinq ans pour rejoindre l'Italie en passant par l'Iran, la Turquie et la Grèce.
Dans ce récit vibrant d'espoir, il nous raconte son quotidien, où la débrouille le dispute à la peur, l'entraide à la brutalité. Comme tous ceux qui témoignent de l'insoutenable, c'est sans amertume, avec une tranquille objectivité et pas mal d'ironie qu'il retrace les étapes de ce voyage insensé.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5

sur 10 notes dont 2 avis lecteurs

Caroline - 2 - 1

5/5

“ Edifiant ”

Ce roman construit comme une longue discussion nous entraîne sur les pas d'Enaiat, jeune Afghan Hazara de 10/11ans, abandonné au Pakistan par sa mère pour lui sauver la vie. Son périple durera plusieurs années l'emmenant d'Afghanistan jusqu'en Italie, endurant tout ce que les hommes sont capables d'accepter (et plus encore...) pour trouver un « endroit pour grandir"

Emouvant
XXe siècle
italie
Afghanistan
Proche-Orient

Emanuelle

4/5

“ Enfance ”

Une femme, membre d'une ethnie minoritaire en Afghanistan, décide de donner un avenir à son fils de 10 ans et l’abandonne en Iran. Un beau témoignage, dont l’écriture a une vraie valeur littéraire. Les apartés entre Enaiat et Fabio Geda étaient intéressants, donnant un aperçu du processus d’écriture. J’ai aussi beaucoup aimé l’attitude d’Enaiat, toujours active et jamais plaintive, et son émerveillement devant la bonté d’étrangers.